Questões de Concurso Público SEAD-AP 2022 para Professor de Educação Básica - Língua Francesa
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« Ognon », « piquenique »...
La Suisse « rectifie » l’orthographe française
Le mot « oignon » sera désormais enseigné sous l’orthographe « ognon », en vertu des rectifications de l’orthographe de 1990 et validées par l’Académie française.
C’est une nouvelle qui va faire plaisir aux écoliers. Ceux pour qui l’orthographe et les dictées sont synonymes de cauchemar. Au pays des Helvètes, c’est désormais officiel: on pourra manger des oignons sans « i », pique-niquer sans emporter de trait d’union, et se baigner dans une île en retirant son accent si l’envie nous prend.
Exit les accents circonflexes, les traits d’union et les tirets des chiffres composés. La Suisse francophone adopte une orthographe « simplifiée ». Un choix que toute école francophone peut poser, depuis 1990, année de la réforme d’orthographe. C’est Michel Rocard, premier ministre de François Mitterrand, qui demande au Conseil supérieur de la langue française de proposer des simplifications orthographiques, pour rehausser le niveau des écoliers en français. Celles-ci devaient servir « une certaine harmonisation de quelques règles de l’orthographe française », indique Grevisse.
L’Académie française approuve ces propositions. Parmi elles, il y a la suppression de l’accent circonflexe sur « i » et « u » (sauf pour les formes verbales et les homophones comme « mûr, jeûne »), l’alignement des verbes en « -eler » et « -eter » sur le modèle de « peler » et « acheter » (sauf « jeter » et « appeler »), et la régularisation des mots composés.
En France, ces modifications ne sont en aucun cas obligatoires, mais constituent un « changement de la norme officielle ». Les Français restent libres d’appliquer et d’enseigner les anciennes. En Belgique, elle est en revanche obligatoire. En Suisse romande, à partir de 2023, elle sera officiellement enseignée à l’école, sans que la graphie traditionnelle soit proscrite. Les professeurs sont également invités à privilégier un langage « épicène », c’est-à-dire sans distinction de genre. L’écriture inclusive est en revanche interdite.
Dans Le Temps, quotidien suisse, le psycholinguiste Pascal Gygax, qui officie à l’Université de Fribourg, analyse cette adoption officielle comme un moyen de lutter contre « une scission grandissante entre l’écrit et oral qui mérite d’être questionnée ». Selon lui, « les élèves suisses, belges et français ont des scores en langue moins bons que dans d’autres pays, parce qu’ils passent beaucoup de temps à essayer d’apprendre des règles d’orthographe qui ne reposent sur aucune logique. »
Au total, 2400 mots ont subi un nettoyage de printemps: nénuphar devient « nénufar », porte-monnaie, « portemonnaie » et mille-pattes, « millepattes » .
Maguelonne de Gestas, « Ognon », « piquenique »... La Suisse « rectifie »
l’orthographe française, Le Figaro, (en-ligne), 2 juill. 2021.
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« Ognon », « piquenique »...
La Suisse « rectifie » l’orthographe française
Le mot « oignon » sera désormais enseigné sous l’orthographe « ognon », en vertu des rectifications de l’orthographe de 1990 et validées par l’Académie française.
C’est une nouvelle qui va faire plaisir aux écoliers. Ceux pour qui l’orthographe et les dictées sont synonymes de cauchemar. Au pays des Helvètes, c’est désormais officiel: on pourra manger des oignons sans « i », pique-niquer sans emporter de trait d’union, et se baigner dans une île en retirant son accent si l’envie nous prend.
Exit les accents circonflexes, les traits d’union et les tirets des chiffres composés. La Suisse francophone adopte une orthographe « simplifiée ». Un choix que toute école francophone peut poser, depuis 1990, année de la réforme d’orthographe. C’est Michel Rocard, premier ministre de François Mitterrand, qui demande au Conseil supérieur de la langue française de proposer des simplifications orthographiques, pour rehausser le niveau des écoliers en français. Celles-ci devaient servir « une certaine harmonisation de quelques règles de l’orthographe française », indique Grevisse.
L’Académie française approuve ces propositions. Parmi elles, il y a la suppression de l’accent circonflexe sur « i » et « u » (sauf pour les formes verbales et les homophones comme « mûr, jeûne »), l’alignement des verbes en « -eler » et « -eter » sur le modèle de « peler » et « acheter » (sauf « jeter » et « appeler »), et la régularisation des mots composés.
En France, ces modifications ne sont en aucun cas obligatoires, mais constituent un « changement de la norme officielle ». Les Français restent libres d’appliquer et d’enseigner les anciennes. En Belgique, elle est en revanche obligatoire. En Suisse romande, à partir de 2023, elle sera officiellement enseignée à l’école, sans que la graphie traditionnelle soit proscrite. Les professeurs sont également invités à privilégier un langage « épicène », c’est-à-dire sans distinction de genre. L’écriture inclusive est en revanche interdite.
Dans Le Temps, quotidien suisse, le psycholinguiste Pascal Gygax, qui officie à l’Université de Fribourg, analyse cette adoption officielle comme un moyen de lutter contre « une scission grandissante entre l’écrit et oral qui mérite d’être questionnée ». Selon lui, « les élèves suisses, belges et français ont des scores en langue moins bons que dans d’autres pays, parce qu’ils passent beaucoup de temps à essayer d’apprendre des règles d’orthographe qui ne reposent sur aucune logique. »
Au total, 2400 mots ont subi un nettoyage de printemps: nénuphar devient « nénufar », porte-monnaie, « portemonnaie » et mille-pattes, « millepattes » .
Maguelonne de Gestas, « Ognon », « piquenique »... La Suisse « rectifie »
l’orthographe française, Le Figaro, (en-ligne), 2 juill. 2021.
I. L’accent circonflexe se maintient sur les voyelles « a », « e » et « o ». II. Les verbes « jeter » et « feuilleter » se conjuguent de la même façon. III. Le mot « diplôme » n’a plus d’accent circonflexe. IV. Le mot « week-end » s’écrit désormais « weekend ». V. Les mots « abîme », « chaîne », « flûte » et « piqûre » n’ont plus d’accent circonflexe. VI. La 3ᵉ personne du pluriel du verbe « renouveler » au présent s’écrit désormais « ils/elles renouvellent ».
Signalez l’option qui contient les affirmations correctes.
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« Ognon », « piquenique »...
La Suisse « rectifie » l’orthographe française
Le mot « oignon » sera désormais enseigné sous l’orthographe « ognon », en vertu des rectifications de l’orthographe de 1990 et validées par l’Académie française.
C’est une nouvelle qui va faire plaisir aux écoliers. Ceux pour qui l’orthographe et les dictées sont synonymes de cauchemar. Au pays des Helvètes, c’est désormais officiel: on pourra manger des oignons sans « i », pique-niquer sans emporter de trait d’union, et se baigner dans une île en retirant son accent si l’envie nous prend.
Exit les accents circonflexes, les traits d’union et les tirets des chiffres composés. La Suisse francophone adopte une orthographe « simplifiée ». Un choix que toute école francophone peut poser, depuis 1990, année de la réforme d’orthographe. C’est Michel Rocard, premier ministre de François Mitterrand, qui demande au Conseil supérieur de la langue française de proposer des simplifications orthographiques, pour rehausser le niveau des écoliers en français. Celles-ci devaient servir « une certaine harmonisation de quelques règles de l’orthographe française », indique Grevisse.
L’Académie française approuve ces propositions. Parmi elles, il y a la suppression de l’accent circonflexe sur « i » et « u » (sauf pour les formes verbales et les homophones comme « mûr, jeûne »), l’alignement des verbes en « -eler » et « -eter » sur le modèle de « peler » et « acheter » (sauf « jeter » et « appeler »), et la régularisation des mots composés.
En France, ces modifications ne sont en aucun cas obligatoires, mais constituent un « changement de la norme officielle ». Les Français restent libres d’appliquer et d’enseigner les anciennes. En Belgique, elle est en revanche obligatoire. En Suisse romande, à partir de 2023, elle sera officiellement enseignée à l’école, sans que la graphie traditionnelle soit proscrite. Les professeurs sont également invités à privilégier un langage « épicène », c’est-à-dire sans distinction de genre. L’écriture inclusive est en revanche interdite.
Dans Le Temps, quotidien suisse, le psycholinguiste Pascal Gygax, qui officie à l’Université de Fribourg, analyse cette adoption officielle comme un moyen de lutter contre « une scission grandissante entre l’écrit et oral qui mérite d’être questionnée ». Selon lui, « les élèves suisses, belges et français ont des scores en langue moins bons que dans d’autres pays, parce qu’ils passent beaucoup de temps à essayer d’apprendre des règles d’orthographe qui ne reposent sur aucune logique. »
Au total, 2400 mots ont subi un nettoyage de printemps: nénuphar devient « nénufar », porte-monnaie, « portemonnaie » et mille-pattes, « millepattes » .
Maguelonne de Gestas, « Ognon », « piquenique »... La Suisse « rectifie »
l’orthographe française, Le Figaro, (en-ligne), 2 juill. 2021.
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« Ognon », « piquenique »...
La Suisse « rectifie » l’orthographe française
Le mot « oignon » sera désormais enseigné sous l’orthographe « ognon », en vertu des rectifications de l’orthographe de 1990 et validées par l’Académie française.
C’est une nouvelle qui va faire plaisir aux écoliers. Ceux pour qui l’orthographe et les dictées sont synonymes de cauchemar. Au pays des Helvètes, c’est désormais officiel: on pourra manger des oignons sans « i », pique-niquer sans emporter de trait d’union, et se baigner dans une île en retirant son accent si l’envie nous prend.
Exit les accents circonflexes, les traits d’union et les tirets des chiffres composés. La Suisse francophone adopte une orthographe « simplifiée ». Un choix que toute école francophone peut poser, depuis 1990, année de la réforme d’orthographe. C’est Michel Rocard, premier ministre de François Mitterrand, qui demande au Conseil supérieur de la langue française de proposer des simplifications orthographiques, pour rehausser le niveau des écoliers en français. Celles-ci devaient servir « une certaine harmonisation de quelques règles de l’orthographe française », indique Grevisse.
L’Académie française approuve ces propositions. Parmi elles, il y a la suppression de l’accent circonflexe sur « i » et « u » (sauf pour les formes verbales et les homophones comme « mûr, jeûne »), l’alignement des verbes en « -eler » et « -eter » sur le modèle de « peler » et « acheter » (sauf « jeter » et « appeler »), et la régularisation des mots composés.
En France, ces modifications ne sont en aucun cas obligatoires, mais constituent un « changement de la norme officielle ». Les Français restent libres d’appliquer et d’enseigner les anciennes. En Belgique, elle est en revanche obligatoire. En Suisse romande, à partir de 2023, elle sera officiellement enseignée à l’école, sans que la graphie traditionnelle soit proscrite. Les professeurs sont également invités à privilégier un langage « épicène », c’est-à-dire sans distinction de genre. L’écriture inclusive est en revanche interdite.
Dans Le Temps, quotidien suisse, le psycholinguiste Pascal Gygax, qui officie à l’Université de Fribourg, analyse cette adoption officielle comme un moyen de lutter contre « une scission grandissante entre l’écrit et oral qui mérite d’être questionnée ». Selon lui, « les élèves suisses, belges et français ont des scores en langue moins bons que dans d’autres pays, parce qu’ils passent beaucoup de temps à essayer d’apprendre des règles d’orthographe qui ne reposent sur aucune logique. »
Au total, 2400 mots ont subi un nettoyage de printemps: nénuphar devient « nénufar », porte-monnaie, « portemonnaie » et mille-pattes, « millepattes » .
Maguelonne de Gestas, « Ognon », « piquenique »... La Suisse « rectifie »
l’orthographe française, Le Figaro, (en-ligne), 2 juill. 2021.
Le mot souligné peut être remplacé, sans perte de sens, par quel autre mot ?
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« Ognon », « piquenique »...
La Suisse « rectifie » l’orthographe française
Le mot « oignon » sera désormais enseigné sous l’orthographe « ognon », en vertu des rectifications de l’orthographe de 1990 et validées par l’Académie française.
C’est une nouvelle qui va faire plaisir aux écoliers. Ceux pour qui l’orthographe et les dictées sont synonymes de cauchemar. Au pays des Helvètes, c’est désormais officiel: on pourra manger des oignons sans « i », pique-niquer sans emporter de trait d’union, et se baigner dans une île en retirant son accent si l’envie nous prend.
Exit les accents circonflexes, les traits d’union et les tirets des chiffres composés. La Suisse francophone adopte une orthographe « simplifiée ». Un choix que toute école francophone peut poser, depuis 1990, année de la réforme d’orthographe. C’est Michel Rocard, premier ministre de François Mitterrand, qui demande au Conseil supérieur de la langue française de proposer des simplifications orthographiques, pour rehausser le niveau des écoliers en français. Celles-ci devaient servir « une certaine harmonisation de quelques règles de l’orthographe française », indique Grevisse.
L’Académie française approuve ces propositions. Parmi elles, il y a la suppression de l’accent circonflexe sur « i » et « u » (sauf pour les formes verbales et les homophones comme « mûr, jeûne »), l’alignement des verbes en « -eler » et « -eter » sur le modèle de « peler » et « acheter » (sauf « jeter » et « appeler »), et la régularisation des mots composés.
En France, ces modifications ne sont en aucun cas obligatoires, mais constituent un « changement de la norme officielle ». Les Français restent libres d’appliquer et d’enseigner les anciennes. En Belgique, elle est en revanche obligatoire. En Suisse romande, à partir de 2023, elle sera officiellement enseignée à l’école, sans que la graphie traditionnelle soit proscrite. Les professeurs sont également invités à privilégier un langage « épicène », c’est-à-dire sans distinction de genre. L’écriture inclusive est en revanche interdite.
Dans Le Temps, quotidien suisse, le psycholinguiste Pascal Gygax, qui officie à l’Université de Fribourg, analyse cette adoption officielle comme un moyen de lutter contre « une scission grandissante entre l’écrit et oral qui mérite d’être questionnée ». Selon lui, « les élèves suisses, belges et français ont des scores en langue moins bons que dans d’autres pays, parce qu’ils passent beaucoup de temps à essayer d’apprendre des règles d’orthographe qui ne reposent sur aucune logique. »
Au total, 2400 mots ont subi un nettoyage de printemps: nénuphar devient « nénufar », porte-monnaie, « portemonnaie » et mille-pattes, « millepattes » .
Maguelonne de Gestas, « Ognon », « piquenique »... La Suisse « rectifie »
l’orthographe française, Le Figaro, (en-ligne), 2 juill. 2021.
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Quels sont les savoirs mobilisés dans les processus de familiarisation et de l'appropriation des outils numériques par les apprenants ?
Quelle est la définition de document authentique en classe de Français Langue Étrangère FLE ?
commun pour des publics différents
L’évaluation est une démarche qui permet de fournir des données utiles à la prise de décision dans la poursuite d’un but ou d’un objectif. C’est pourquoi elle intervient à trois moments de l’apprentissage: avant, pour dresser un bilan des acquis des élèves en termes de savoirs et de savoir-faire; pendant, pour réguler le projet d’apprentissage; après, pour faire le bilan du niveau de compétence atteint en termes de savoirs et savoirfaire. De ce fait, elle a trois fonctions: une fonction diagnostique, une fonction formative et une fonction sommative. L’évaluation diagnostique vise à faire un bilan sur l’appropriation des connaissances et des savoir-faire des apprenants avant ou au début d’une formation, et c’est à partir de ce bilan que va être construite la progression des apprentissages. L’évaluation formative a une fonction régulatrice en ce qu’elle a pour objectif de faire atteindre au plus grand nombre un objectif fixé. Elle se fait par la mise en place d’activités qui permettent à l’enseignant de se rendre compte de l’état d’avancement du progrès de l’apprenant et qui informent l’apprenant sur le stade atteint en rapport à l’objectif fixé et à son parcours de formation. Enfin, l’évaluation sommative est une évaluation de fin de parcours, qui permet à l’enseignant de se rendre compte de l’autonomie de l’apprenant par rapport à une mobilisation de connaissances et de capacités qu’il a acquises pendant sa formation. Cette évaluation ne cherche pas à positionner un apprenant par rapport aux autres, mais elle a pour but de jauger la manière dont l’apprenant est capable de résoudre une tâche et donc de mobiliser les connaissances et les capacités qu’il s’est appropriées.
commun pour des publics différents
L’évaluation est une démarche qui permet de fournir des données utiles à la prise de décision dans la poursuite d’un but ou d’un objectif. C’est pourquoi elle intervient à trois moments de l’apprentissage: avant, pour dresser un bilan des acquis des élèves en termes de savoirs et de savoir-faire; pendant, pour réguler le projet d’apprentissage; après, pour faire le bilan du niveau de compétence atteint en termes de savoirs et savoirfaire. De ce fait, elle a trois fonctions: une fonction diagnostique, une fonction formative et une fonction sommative. L’évaluation diagnostique vise à faire un bilan sur l’appropriation des connaissances et des savoir-faire des apprenants avant ou au début d’une formation, et c’est à partir de ce bilan que va être construite la progression des apprentissages. L’évaluation formative a une fonction régulatrice en ce qu’elle a pour objectif de faire atteindre au plus grand nombre un objectif fixé. Elle se fait par la mise en place d’activités qui permettent à l’enseignant de se rendre compte de l’état d’avancement du progrès de l’apprenant et qui informent l’apprenant sur le stade atteint en rapport à l’objectif fixé et à son parcours de formation. Enfin, l’évaluation sommative est une évaluation de fin de parcours, qui permet à l’enseignant de se rendre compte de l’autonomie de l’apprenant par rapport à une mobilisation de connaissances et de capacités qu’il a acquises pendant sa formation. Cette évaluation ne cherche pas à positionner un apprenant par rapport aux autres, mais elle a pour but de jauger la manière dont l’apprenant est capable de résoudre une tâche et donc de mobiliser les connaissances et les capacités qu’il s’est appropriées.
commun pour des publics différents
L’évaluation est une démarche qui permet de fournir des données utiles à la prise de décision dans la poursuite d’un but ou d’un objectif. C’est pourquoi elle intervient à trois moments de l’apprentissage: avant, pour dresser un bilan des acquis des élèves en termes de savoirs et de savoir-faire; pendant, pour réguler le projet d’apprentissage; après, pour faire le bilan du niveau de compétence atteint en termes de savoirs et savoirfaire. De ce fait, elle a trois fonctions: une fonction diagnostique, une fonction formative et une fonction sommative. L’évaluation diagnostique vise à faire un bilan sur l’appropriation des connaissances et des savoir-faire des apprenants avant ou au début d’une formation, et c’est à partir de ce bilan que va être construite la progression des apprentissages. L’évaluation formative a une fonction régulatrice en ce qu’elle a pour objectif de faire atteindre au plus grand nombre un objectif fixé. Elle se fait par la mise en place d’activités qui permettent à l’enseignant de se rendre compte de l’état d’avancement du progrès de l’apprenant et qui informent l’apprenant sur le stade atteint en rapport à l’objectif fixé et à son parcours de formation. Enfin, l’évaluation sommative est une évaluation de fin de parcours, qui permet à l’enseignant de se rendre compte de l’autonomie de l’apprenant par rapport à une mobilisation de connaissances et de capacités qu’il a acquises pendant sa formation. Cette évaluation ne cherche pas à positionner un apprenant par rapport aux autres, mais elle a pour but de jauger la manière dont l’apprenant est capable de résoudre une tâche et donc de mobiliser les connaissances et les capacités qu’il s’est appropriées.
commun pour des publics différents
L’évaluation est une démarche qui permet de fournir des données utiles à la prise de décision dans la poursuite d’un but ou d’un objectif. C’est pourquoi elle intervient à trois moments de l’apprentissage: avant, pour dresser un bilan des acquis des élèves en termes de savoirs et de savoir-faire; pendant, pour réguler le projet d’apprentissage; après, pour faire le bilan du niveau de compétence atteint en termes de savoirs et savoirfaire. De ce fait, elle a trois fonctions: une fonction diagnostique, une fonction formative et une fonction sommative. L’évaluation diagnostique vise à faire un bilan sur l’appropriation des connaissances et des savoir-faire des apprenants avant ou au début d’une formation, et c’est à partir de ce bilan que va être construite la progression des apprentissages. L’évaluation formative a une fonction régulatrice en ce qu’elle a pour objectif de faire atteindre au plus grand nombre un objectif fixé. Elle se fait par la mise en place d’activités qui permettent à l’enseignant de se rendre compte de l’état d’avancement du progrès de l’apprenant et qui informent l’apprenant sur le stade atteint en rapport à l’objectif fixé et à son parcours de formation. Enfin, l’évaluation sommative est une évaluation de fin de parcours, qui permet à l’enseignant de se rendre compte de l’autonomie de l’apprenant par rapport à une mobilisation de connaissances et de capacités qu’il a acquises pendant sa formation. Cette évaluation ne cherche pas à positionner un apprenant par rapport aux autres, mais elle a pour but de jauger la manière dont l’apprenant est capable de résoudre une tâche et donc de mobiliser les connaissances et les capacités qu’il s’est appropriées.