Questões de Francês - Gramática para Concurso
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Texte VIII, Pour répondre aux questions de 40 à 43.
L’enfoncement du Boucan, 1892
1 Du plus loin que je me souvienne, j’ai entendu
la mer. Mêlé au vent dans les aiguilles des filaos, au vent qui
ne cesse pas, même lorsqu’on s’éloigne des rivages et qu’on
4 avance à travers les champs de canne, c’est ce bruit qui a
bercé mon enfance. Je l’entends maintenant, au plus profond
de moi, je l’emporte partout où je vais, le bruit lent, inlassable,
7 des vagues qui se brisent au loin sur la barrière de corail, et
qui viennent mourir sur le sable de la Rivière Noire.
Pas un jour sans que j’aille à la mer, pas une nuit sans que je
10 m’éveille, le dos mouillé de sueur, assis sur mon lit de camp,
écartant la moustiquaire et cherchant à percevoir la marée,
inquiet, plein d’un désir que je ne comprends pas.
13 Je pense à elle comme à une personne humaine, et
dans l’obscurité, tous mes sens sont en éveil pour mieux
l’entendre arriver, pour mieux la recevoir. Les vagues géantes
16 bondissent par-dessus les récifs, s’écroulent dans le lagon, et
le bruit fait vibrer la terre et l’air comme une chaudière. Je
l’entends, elle bouge, elle respire.
19 Quand la lune est pleine, je me glisse hors du lit
sans faire de bruit, prenant garde à ne pas faire craquer le
plancher vermoulu. Pourtant, je sais que Laure ne dort pas, je
22 sais qu’elle a les yeux ouverts dans le noir et qu’elle retient
son souffle. J’escalade le rebord de la fenêtre et je pousse les
volets de bois, je suis dehors, dans la nuit.
J. M. G. Le Clézio. Le chercheur d’or. Paris: Gallimard, 1985, p. 11-2.
En considérant le texte présenté ci-dessus, marquez l’option correcte.
Texte VII, pour répondre aux questions de 36 à 39.
Dynamique de la langue et dynamique associative
1 Sans ceux qui les parlent, sans ceux qui
l’apprennent, ceux qui les enseignent, les langues ne sont
que des abstractions. Certains linguistes avancent même
4 qu’elles n’existent pas en dehors de leurs réalisations
effectives. La dynamique qui les porte est donc avant tout une
question humaine. Les associations des professeurs
7 subissent certes des contraintes macrolinguistiques qui les
dépassent: ce sont des contraintes d’ordre politique,
économique, historique. Mais, en tant qu’auteurs importants
10 du champ, elles ont aussi un grand pouvoir d’influence sur
cette dynamique. Je ne confondrais donc pas ici la
dynamique propre à la langue elle-même, et la dynamique
13 associative, qui, si elles ont à l’évidence des points de
recouvrement, ne se laissent pourtant pas réduire l’une à
l’autre.
16 Pour s’exprimer sans langue de bois, on peut dire
tout autour de la planète, le français, comme quelques autres
langues qui sont historiquement développées au niveau
19 mondial, doit répondre aujourd’hui au double et difficile défi
que représente d’une part la vogue du “tout anglais” et d’autre
part la concurrence accrue d’autres langues qui sont
22 maintenant proposées soit dans les systèmes éducatifs
publics soit sur le marché privé des langues.
En ce qui concerne le français à une époque
25 charnière de sa présence en Amérique latine, malgré
l’imposition massive de l’anglais par les systèmes éducatifs,
dans les années 1990, et désormais l’introduction de la
28 langue voisine, le français y a toujours retrouvé sa place. Les
atouts du français, selon Chardedent et Cunha (2008), sont,
dans ce contexte, “la diversité de son intégration sociale, sa
31 proximité néo-latine et sa capacité à relier l’espace
sud-américain à l’espace européen”.
Pour ce qui concerne plus particulièrement le Brésil,
34 Pietraroia (2007) affirme que la présence du français, dans
beaucoup de régions brésiliennes, est due “à l’action des
associations de professeurs pour que les écoles adoptent une
37 perspective plurilingue dans leurs programmes”.
Les deux études citées mettent donc l’accent sur le
fait qu’une des voies majeures ouvertes au français est sa
40 capacité à créer du lien entre les langues ou entre les
disciplines.
Jean-Pierre Cuq, Synergies Brésil, n.º 7, 2009, pp. 154-5. (adapté).
Sur le plan linguistique et grammatical, toujours en considérant le texte, marquez l’option correcte.
À partir des phrases « La collaboration entre l'association viennoise et celle de Rochefort a donné des résultats très satisfaisants » et « L'auteur nous parle de la collaboration entre l'association viennoise et celle de Rochefort », il est possible de construire une phrase complexe et d'éliminer les répétitions en utilisant le relatif
Dans l'énoncé «Ainsi en est-il à Vienne Autriche)», le verbe est
A frase “Il n’y a qu’un ami qui me comprenne” expressa uma ideia de
Assinale a alternativa que completa corretamente a lacuna da frase com o verbo “être” no subjuntivo.
“Bien qu’il __________ déjà en retard, il ne se dépêche pas.”
Assinale a alternativa que completa as lacunas da frase, respectivamente, com o adjetivo possessivo e o pronome possessivo adequados.
“As-tu pensé à remplir __________ déclaration d’impôts? Moi, j’ai déjà envoyé __________ .”
Assinale a alternativa que apresenta uma frase em que a preposição “pour” expressa uma ideia de finalidade/ objetivo.
Assinale a alternativa que contém a frase na qual o pronome relativo está empregado de forma correta.
No trecho: “L’acquisition de la compréhension écrite en langue étrangère est un processus complexe qui résulte à la fois du transfert des connaissances en langue maternelle et du développement de compétences lexicales, syntaxiques et textuelles propres à la langue étrangère ; à ces compétences linguistiques et discursives s’ajoutent les connaissances antérieures du lecteur, son expérience du monde et son bagage socioculturel.” (Cuq e Gruca, 2005). O termo destacado em negrito expressa uma ideia de
No trecho: “L’évaluation formative est un processus continu qui permet de recueillir des informations sur les points forts et les points faibles. L’enseignant peut alors les utiliser pour l´organisation de son cours et les renvoyer aussi aux apprenants. On utilise souvent l’évaluation formative au sens large afin d’y inclure l´information non quantifiable fournie par des interrogations et des entretiens” QECRL (2005), os termos destacados em negrito referem-se a:
« Si on avait mieux garé la voiture, la police... », en conjugant le verbe (emmener) au conditionnel passé, est :
Lisez le texte ci-dessous et répondez à la question
« [...] Je ne serai jamais que l'ombre folle d'un inconnu qui garde ses secrets […]
Et quand je me regarde dans la glace, je vois un étranger.
Un étranger narquois et méchant qui va fondre sur moi. »
Lisez le texte ci-dessous et répondez à la question
« [...] Je ne serai jamais que l'ombre folle d'un inconnu qui garde ses secrets […]
Et quand je me regarde dans la glace, je vois un étranger.
Un étranger narquois et méchant qui va fondre sur moi. »
« je vois un étranger » à la voix passive est:
Lisez le texte ci-dessous et répondez à la question
« [...] Je ne serai jamais que l'ombre folle d'un inconnu qui garde ses secrets […]
Et quand je me regarde dans la glace, je vois un étranger.
Un étranger narquois et méchant qui va fondre sur moi. »
« je ne serai jamais » et « je me regarde »
au passé composé, respectivement, sont:
Lisez le texte ci-dessous et répondez à la question
Texte 1
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là
Et tu marchais souriante
Épanouie ravie ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest
Et je t'ai croisée rue de Siam
Tu souriais
Et moi je souriais de même
Rappelle-toi Barbara
Toi que je ne connaissais pas
Toi qui ne me connaissais pas
Rappelle-toi
Rappelle-toi quand même ce jour-là
N'oublie pas
Un homme sous un porche s'abritait
Et il a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et tu t'es jetée dans ses bras
Rappelle-toi Barbara
Et ne m'en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j'aime
Même si je ne les ai vus qu'une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s'aiment
Même si je ne les connais pas
Rappelle-toi Barbara
N'oublie pas
Cette pluie sage et heureuse
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Cette pluie sur la mer
Sur l'arsenal
Sur le bateau d'Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu'es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
De feu d'acier de sang
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n'est plus pareil et tout est abimé
C'est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n'est même plus l'orage
De fer d'acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l'eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien.
Jacques PRÉVERT: Barbara, Paroles. Éditions Gallimard, 1972.
Lisez le texte ci-dessous et répondez à la question
Texte 1
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là
Et tu marchais souriante
Épanouie ravie ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest
Et je t'ai croisée rue de Siam
Tu souriais
Et moi je souriais de même
Rappelle-toi Barbara
Toi que je ne connaissais pas
Toi qui ne me connaissais pas
Rappelle-toi
Rappelle-toi quand même ce jour-là
N'oublie pas
Un homme sous un porche s'abritait
Et il a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et tu t'es jetée dans ses bras
Rappelle-toi Barbara
Et ne m'en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j'aime
Même si je ne les ai vus qu'une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s'aiment
Même si je ne les connais pas
Rappelle-toi Barbara
N'oublie pas
Cette pluie sage et heureuse
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Cette pluie sur la mer
Sur l'arsenal
Sur le bateau d'Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu'es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
De feu d'acier de sang
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n'est plus pareil et tout est abimé
C'est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n'est même plus l'orage
De fer d'acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l'eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien.
Jacques PRÉVERT: Barbara, Paroles. Éditions Gallimard, 1972.
Lisez le texte ci-dessous et répondez à la question
Texte 1
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là
Et tu marchais souriante
Épanouie ravie ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest
Et je t'ai croisée rue de Siam
Tu souriais
Et moi je souriais de même
Rappelle-toi Barbara
Toi que je ne connaissais pas
Toi qui ne me connaissais pas
Rappelle-toi
Rappelle-toi quand même ce jour-là
N'oublie pas
Un homme sous un porche s'abritait
Et il a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et tu t'es jetée dans ses bras
Rappelle-toi Barbara
Et ne m'en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j'aime
Même si je ne les ai vus qu'une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s'aiment
Même si je ne les connais pas
Rappelle-toi Barbara
N'oublie pas
Cette pluie sage et heureuse
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Cette pluie sur la mer
Sur l'arsenal
Sur le bateau d'Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu'es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
De feu d'acier de sang
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n'est plus pareil et tout est abimé
C'est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n'est même plus l'orage
De fer d'acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l'eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien.
Jacques PRÉVERT: Barbara, Paroles. Éditions Gallimard, 1972.
Lisez le texte ci-dessous et répondez à la question
Texte 1
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là
Et tu marchais souriante
Épanouie ravie ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest
Et je t'ai croisée rue de Siam
Tu souriais
Et moi je souriais de même
Rappelle-toi Barbara
Toi que je ne connaissais pas
Toi qui ne me connaissais pas
Rappelle-toi
Rappelle-toi quand même ce jour-là
N'oublie pas
Un homme sous un porche s'abritait
Et il a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et tu t'es jetée dans ses bras
Rappelle-toi Barbara
Et ne m'en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j'aime
Même si je ne les ai vus qu'une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s'aiment
Même si je ne les connais pas
Rappelle-toi Barbara
N'oublie pas
Cette pluie sage et heureuse
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Cette pluie sur la mer
Sur l'arsenal
Sur le bateau d'Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu'es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
De feu d'acier de sang
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n'est plus pareil et tout est abimé
C'est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n'est même plus l'orage
De fer d'acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l'eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien.
Jacques PRÉVERT: Barbara, Paroles. Éditions Gallimard, 1972.
Lisez le texte ci-dessous et répondez à la question
Texte 1
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là
Et tu marchais souriante
Épanouie ravie ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest
Et je t'ai croisée rue de Siam
Tu souriais
Et moi je souriais de même
Rappelle-toi Barbara
Toi que je ne connaissais pas
Toi qui ne me connaissais pas
Rappelle-toi
Rappelle-toi quand même ce jour-là
N'oublie pas
Un homme sous un porche s'abritait
Et il a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et tu t'es jetée dans ses bras
Rappelle-toi Barbara
Et ne m'en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j'aime
Même si je ne les ai vus qu'une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s'aiment
Même si je ne les connais pas
Rappelle-toi Barbara
N'oublie pas
Cette pluie sage et heureuse
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Cette pluie sur la mer
Sur l'arsenal
Sur le bateau d'Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu'es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
De feu d'acier de sang
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n'est plus pareil et tout est abimé
C'est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n'est même plus l'orage
De fer d'acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l'eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien.
Jacques PRÉVERT: Barbara, Paroles. Éditions Gallimard, 1972.