Questões de Concurso Sobre interpretação de textos em francês

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Q3128617 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Finlande: voyage au pays du bonheur

   En 2024, ce pays scandinave a été élu “le plus heureux du monde” pour la 7ème année consécutive. Voyager en Finlande peut-il contribuer au bonheur? Découverte!
Le Rapport mondial sur le bonheur est une mesure du bonheur publiée chaque année par l’ONU depuis 2012. Il est basé sur l’évaluation que les gens font de leur bonheur, ainsi que sur des données économiques et sociales. Six facteurs sont analysés: le soutien relationnel, le revenu, la santé, la liberté, la générosité et l’absence de corruption. Un échantillon d'environ 2000 personnes par pays est interrogé. Les nations nordiques arrivent en tête des dix premières places puisque le Danemark, l’Islande et la Suède suivent la Finlande. La France est 27ème .
   Jennifer de Paola est docteur en psychologie, spécialisée sur le bonheur à l’Université d’Helsinki. Pour elle, “la proximité avec la nature et le bon equilibre entre travail et vie privée constituent la clé de la satisfaction des Finlandais”. Ce pays était pourtant connu jusque dans les années 1980 pour un taux de suicide et de dépression très important. “C’est pour cette raison que le gouvernement a investi dans des campagnes dédiées à la prévention”, explique la chercheuse.
    “Parmi les mesures, il y a l'accès aux traitements, afin que chacun puisse bénéficier de soins de santé mentale grâce à l'aide sociale. Le Rapport mondial sur le bonheur indique aujourd’hui un bon degré de confiance dans les institutions, une longue espérance de vie (de qualité), la liberté de s'exprimer et de faire des choix de vie, un PIB élevé, un haut niveau d'altruisme et un soutien social apporté par les personnes qui nous entourent.”
    – Jennifer de Paola.
   Cinq éléments clés expliquent notamment le classement de la Finlande: le bien-être, un régime alimentaire cohérent avec les saisons, des liens étroits avec la nature, l’appréciation des arts et une atmosphère locale conviviale. Un voyage en Finlande peut être l’occasion de flirter avec ces éléments qui rendent heureux…
    Le pays est avant tout apprécié pour sa sécurité: la Finlande est l’une des destinations les plus sûres. S’ils sont réputés pour leur politesse qui peut virer à l’introversion, les Finlandais n’en sont pas moins accueillants. Sécurité, politesse et chaleur humaine, une combinaison estimée des voyageurs…
   La culture du sauna est aussi un point fort de la destination, qui compte 3 millions de saunas pour une population pour 5 millions d’habitants. Pour son aspect traditionnel et ses bienfaits sur le corps et le moral, le sauna est inscrit au Patrimoine culturel de l’UNESCO. Tout visiteur appréciera de terminer ses journées de découverte dans la douce chaleur d’un sauna!
   C’est du côté de la nature que la Finlande se distingue plus encore. Le pays a promulgué un “droit d’accès à la nature”, où tout le monde est libre de profiter de la nature de manière responsable. Ainsi la cueillette des baies et des champignons sauvages et la pêche à la ligne sont libres toute l’année. Mais ce sont surtout ses paysages emplis de forêts dans tout le pays, les 40 parcs nationaux et leurs superbes sentiers de randonnées qui ravissent les visiteurs. Et, alors que les journées sans fin sont les stars de l’été, en hiver, les aurores boréales font chavirer les cœurs des voyageurs. En Laponie, on peut voir des aurores boréales 200 nuits par an…
   Avec ces atouts, il y a de bonnes chances qu’un voyage en Finlande apporte bien de la joie!

(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/finlande-voyage-au-pays-du-bonheur. Accès: 09/11/2024.)
Dans le texte, on trouve les nombres ci-dessous. Cochez la réponse qui n’est pas correcte:
Alternativas
Q3128616 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Finlande: voyage au pays du bonheur

   En 2024, ce pays scandinave a été élu “le plus heureux du monde” pour la 7ème année consécutive. Voyager en Finlande peut-il contribuer au bonheur? Découverte!
Le Rapport mondial sur le bonheur est une mesure du bonheur publiée chaque année par l’ONU depuis 2012. Il est basé sur l’évaluation que les gens font de leur bonheur, ainsi que sur des données économiques et sociales. Six facteurs sont analysés: le soutien relationnel, le revenu, la santé, la liberté, la générosité et l’absence de corruption. Un échantillon d'environ 2000 personnes par pays est interrogé. Les nations nordiques arrivent en tête des dix premières places puisque le Danemark, l’Islande et la Suède suivent la Finlande. La France est 27ème .
   Jennifer de Paola est docteur en psychologie, spécialisée sur le bonheur à l’Université d’Helsinki. Pour elle, “la proximité avec la nature et le bon equilibre entre travail et vie privée constituent la clé de la satisfaction des Finlandais”. Ce pays était pourtant connu jusque dans les années 1980 pour un taux de suicide et de dépression très important. “C’est pour cette raison que le gouvernement a investi dans des campagnes dédiées à la prévention”, explique la chercheuse.
    “Parmi les mesures, il y a l'accès aux traitements, afin que chacun puisse bénéficier de soins de santé mentale grâce à l'aide sociale. Le Rapport mondial sur le bonheur indique aujourd’hui un bon degré de confiance dans les institutions, une longue espérance de vie (de qualité), la liberté de s'exprimer et de faire des choix de vie, un PIB élevé, un haut niveau d'altruisme et un soutien social apporté par les personnes qui nous entourent.”
    – Jennifer de Paola.
   Cinq éléments clés expliquent notamment le classement de la Finlande: le bien-être, un régime alimentaire cohérent avec les saisons, des liens étroits avec la nature, l’appréciation des arts et une atmosphère locale conviviale. Un voyage en Finlande peut être l’occasion de flirter avec ces éléments qui rendent heureux…
    Le pays est avant tout apprécié pour sa sécurité: la Finlande est l’une des destinations les plus sûres. S’ils sont réputés pour leur politesse qui peut virer à l’introversion, les Finlandais n’en sont pas moins accueillants. Sécurité, politesse et chaleur humaine, une combinaison estimée des voyageurs…
   La culture du sauna est aussi un point fort de la destination, qui compte 3 millions de saunas pour une population pour 5 millions d’habitants. Pour son aspect traditionnel et ses bienfaits sur le corps et le moral, le sauna est inscrit au Patrimoine culturel de l’UNESCO. Tout visiteur appréciera de terminer ses journées de découverte dans la douce chaleur d’un sauna!
   C’est du côté de la nature que la Finlande se distingue plus encore. Le pays a promulgué un “droit d’accès à la nature”, où tout le monde est libre de profiter de la nature de manière responsable. Ainsi la cueillette des baies et des champignons sauvages et la pêche à la ligne sont libres toute l’année. Mais ce sont surtout ses paysages emplis de forêts dans tout le pays, les 40 parcs nationaux et leurs superbes sentiers de randonnées qui ravissent les visiteurs. Et, alors que les journées sans fin sont les stars de l’été, en hiver, les aurores boréales font chavirer les cœurs des voyageurs. En Laponie, on peut voir des aurores boréales 200 nuits par an…
   Avec ces atouts, il y a de bonnes chances qu’un voyage en Finlande apporte bien de la joie!

(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/finlande-voyage-au-pays-du-bonheur. Accès: 09/11/2024.)
Tout au long du texte, l’auteur présente des facteurs liés à l’origine du bonheur en Finlande. L’alternative qui ne correspond pas à cette stratégie c’est: 
Alternativas
Q3128611 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Finlande: voyage au pays du bonheur

   En 2024, ce pays scandinave a été élu “le plus heureux du monde” pour la 7ème année consécutive. Voyager en Finlande peut-il contribuer au bonheur? Découverte!
Le Rapport mondial sur le bonheur est une mesure du bonheur publiée chaque année par l’ONU depuis 2012. Il est basé sur l’évaluation que les gens font de leur bonheur, ainsi que sur des données économiques et sociales. Six facteurs sont analysés: le soutien relationnel, le revenu, la santé, la liberté, la générosité et l’absence de corruption. Un échantillon d'environ 2000 personnes par pays est interrogé. Les nations nordiques arrivent en tête des dix premières places puisque le Danemark, l’Islande et la Suède suivent la Finlande. La France est 27ème .
   Jennifer de Paola est docteur en psychologie, spécialisée sur le bonheur à l’Université d’Helsinki. Pour elle, “la proximité avec la nature et le bon equilibre entre travail et vie privée constituent la clé de la satisfaction des Finlandais”. Ce pays était pourtant connu jusque dans les années 1980 pour un taux de suicide et de dépression très important. “C’est pour cette raison que le gouvernement a investi dans des campagnes dédiées à la prévention”, explique la chercheuse.
    “Parmi les mesures, il y a l'accès aux traitements, afin que chacun puisse bénéficier de soins de santé mentale grâce à l'aide sociale. Le Rapport mondial sur le bonheur indique aujourd’hui un bon degré de confiance dans les institutions, une longue espérance de vie (de qualité), la liberté de s'exprimer et de faire des choix de vie, un PIB élevé, un haut niveau d'altruisme et un soutien social apporté par les personnes qui nous entourent.”
    – Jennifer de Paola.
   Cinq éléments clés expliquent notamment le classement de la Finlande: le bien-être, un régime alimentaire cohérent avec les saisons, des liens étroits avec la nature, l’appréciation des arts et une atmosphère locale conviviale. Un voyage en Finlande peut être l’occasion de flirter avec ces éléments qui rendent heureux…
    Le pays est avant tout apprécié pour sa sécurité: la Finlande est l’une des destinations les plus sûres. S’ils sont réputés pour leur politesse qui peut virer à l’introversion, les Finlandais n’en sont pas moins accueillants. Sécurité, politesse et chaleur humaine, une combinaison estimée des voyageurs…
   La culture du sauna est aussi un point fort de la destination, qui compte 3 millions de saunas pour une population pour 5 millions d’habitants. Pour son aspect traditionnel et ses bienfaits sur le corps et le moral, le sauna est inscrit au Patrimoine culturel de l’UNESCO. Tout visiteur appréciera de terminer ses journées de découverte dans la douce chaleur d’un sauna!
   C’est du côté de la nature que la Finlande se distingue plus encore. Le pays a promulgué un “droit d’accès à la nature”, où tout le monde est libre de profiter de la nature de manière responsable. Ainsi la cueillette des baies et des champignons sauvages et la pêche à la ligne sont libres toute l’année. Mais ce sont surtout ses paysages emplis de forêts dans tout le pays, les 40 parcs nationaux et leurs superbes sentiers de randonnées qui ravissent les visiteurs. Et, alors que les journées sans fin sont les stars de l’été, en hiver, les aurores boréales font chavirer les cœurs des voyageurs. En Laponie, on peut voir des aurores boréales 200 nuits par an…
   Avec ces atouts, il y a de bonnes chances qu’un voyage en Finlande apporte bien de la joie!

(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/finlande-voyage-au-pays-du-bonheur. Accès: 09/11/2024.)
Parmi les options ci-dessous, l’une ne contient pas un facteur du bonheur en Finlande. Cochez-la.
Alternativas
Q3128609 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Finlande: voyage au pays du bonheur

   En 2024, ce pays scandinave a été élu “le plus heureux du monde” pour la 7ème année consécutive. Voyager en Finlande peut-il contribuer au bonheur? Découverte!
Le Rapport mondial sur le bonheur est une mesure du bonheur publiée chaque année par l’ONU depuis 2012. Il est basé sur l’évaluation que les gens font de leur bonheur, ainsi que sur des données économiques et sociales. Six facteurs sont analysés: le soutien relationnel, le revenu, la santé, la liberté, la générosité et l’absence de corruption. Un échantillon d'environ 2000 personnes par pays est interrogé. Les nations nordiques arrivent en tête des dix premières places puisque le Danemark, l’Islande et la Suède suivent la Finlande. La France est 27ème .
   Jennifer de Paola est docteur en psychologie, spécialisée sur le bonheur à l’Université d’Helsinki. Pour elle, “la proximité avec la nature et le bon equilibre entre travail et vie privée constituent la clé de la satisfaction des Finlandais”. Ce pays était pourtant connu jusque dans les années 1980 pour un taux de suicide et de dépression très important. “C’est pour cette raison que le gouvernement a investi dans des campagnes dédiées à la prévention”, explique la chercheuse.
    “Parmi les mesures, il y a l'accès aux traitements, afin que chacun puisse bénéficier de soins de santé mentale grâce à l'aide sociale. Le Rapport mondial sur le bonheur indique aujourd’hui un bon degré de confiance dans les institutions, une longue espérance de vie (de qualité), la liberté de s'exprimer et de faire des choix de vie, un PIB élevé, un haut niveau d'altruisme et un soutien social apporté par les personnes qui nous entourent.”
    – Jennifer de Paola.
   Cinq éléments clés expliquent notamment le classement de la Finlande: le bien-être, un régime alimentaire cohérent avec les saisons, des liens étroits avec la nature, l’appréciation des arts et une atmosphère locale conviviale. Un voyage en Finlande peut être l’occasion de flirter avec ces éléments qui rendent heureux…
    Le pays est avant tout apprécié pour sa sécurité: la Finlande est l’une des destinations les plus sûres. S’ils sont réputés pour leur politesse qui peut virer à l’introversion, les Finlandais n’en sont pas moins accueillants. Sécurité, politesse et chaleur humaine, une combinaison estimée des voyageurs…
   La culture du sauna est aussi un point fort de la destination, qui compte 3 millions de saunas pour une population pour 5 millions d’habitants. Pour son aspect traditionnel et ses bienfaits sur le corps et le moral, le sauna est inscrit au Patrimoine culturel de l’UNESCO. Tout visiteur appréciera de terminer ses journées de découverte dans la douce chaleur d’un sauna!
   C’est du côté de la nature que la Finlande se distingue plus encore. Le pays a promulgué un “droit d’accès à la nature”, où tout le monde est libre de profiter de la nature de manière responsable. Ainsi la cueillette des baies et des champignons sauvages et la pêche à la ligne sont libres toute l’année. Mais ce sont surtout ses paysages emplis de forêts dans tout le pays, les 40 parcs nationaux et leurs superbes sentiers de randonnées qui ravissent les visiteurs. Et, alors que les journées sans fin sont les stars de l’été, en hiver, les aurores boréales font chavirer les cœurs des voyageurs. En Laponie, on peut voir des aurores boréales 200 nuits par an…
   Avec ces atouts, il y a de bonnes chances qu’un voyage en Finlande apporte bien de la joie!

(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/finlande-voyage-au-pays-du-bonheur. Accès: 09/11/2024.)
Quelle option ci-dessous n’indique pas une raison du bonheur en Finlande? Marquez la réponse correcte.
Alternativas
Q3128608 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Finlande: voyage au pays du bonheur

   En 2024, ce pays scandinave a été élu “le plus heureux du monde” pour la 7ème année consécutive. Voyager en Finlande peut-il contribuer au bonheur? Découverte!
Le Rapport mondial sur le bonheur est une mesure du bonheur publiée chaque année par l’ONU depuis 2012. Il est basé sur l’évaluation que les gens font de leur bonheur, ainsi que sur des données économiques et sociales. Six facteurs sont analysés: le soutien relationnel, le revenu, la santé, la liberté, la générosité et l’absence de corruption. Un échantillon d'environ 2000 personnes par pays est interrogé. Les nations nordiques arrivent en tête des dix premières places puisque le Danemark, l’Islande et la Suède suivent la Finlande. La France est 27ème .
   Jennifer de Paola est docteur en psychologie, spécialisée sur le bonheur à l’Université d’Helsinki. Pour elle, “la proximité avec la nature et le bon equilibre entre travail et vie privée constituent la clé de la satisfaction des Finlandais”. Ce pays était pourtant connu jusque dans les années 1980 pour un taux de suicide et de dépression très important. “C’est pour cette raison que le gouvernement a investi dans des campagnes dédiées à la prévention”, explique la chercheuse.
    “Parmi les mesures, il y a l'accès aux traitements, afin que chacun puisse bénéficier de soins de santé mentale grâce à l'aide sociale. Le Rapport mondial sur le bonheur indique aujourd’hui un bon degré de confiance dans les institutions, une longue espérance de vie (de qualité), la liberté de s'exprimer et de faire des choix de vie, un PIB élevé, un haut niveau d'altruisme et un soutien social apporté par les personnes qui nous entourent.”
    – Jennifer de Paola.
   Cinq éléments clés expliquent notamment le classement de la Finlande: le bien-être, un régime alimentaire cohérent avec les saisons, des liens étroits avec la nature, l’appréciation des arts et une atmosphère locale conviviale. Un voyage en Finlande peut être l’occasion de flirter avec ces éléments qui rendent heureux…
    Le pays est avant tout apprécié pour sa sécurité: la Finlande est l’une des destinations les plus sûres. S’ils sont réputés pour leur politesse qui peut virer à l’introversion, les Finlandais n’en sont pas moins accueillants. Sécurité, politesse et chaleur humaine, une combinaison estimée des voyageurs…
   La culture du sauna est aussi un point fort de la destination, qui compte 3 millions de saunas pour une population pour 5 millions d’habitants. Pour son aspect traditionnel et ses bienfaits sur le corps et le moral, le sauna est inscrit au Patrimoine culturel de l’UNESCO. Tout visiteur appréciera de terminer ses journées de découverte dans la douce chaleur d’un sauna!
   C’est du côté de la nature que la Finlande se distingue plus encore. Le pays a promulgué un “droit d’accès à la nature”, où tout le monde est libre de profiter de la nature de manière responsable. Ainsi la cueillette des baies et des champignons sauvages et la pêche à la ligne sont libres toute l’année. Mais ce sont surtout ses paysages emplis de forêts dans tout le pays, les 40 parcs nationaux et leurs superbes sentiers de randonnées qui ravissent les visiteurs. Et, alors que les journées sans fin sont les stars de l’été, en hiver, les aurores boréales font chavirer les cœurs des voyageurs. En Laponie, on peut voir des aurores boréales 200 nuits par an…
   Avec ces atouts, il y a de bonnes chances qu’un voyage en Finlande apporte bien de la joie!

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Pourquoi la Finlande a reçu ce classement pour la 7èmme fois consécutive? Cochez la réponse qui n’est pas correcte:
Alternativas
Q3128604 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Finlande: voyage au pays du bonheur

   En 2024, ce pays scandinave a été élu “le plus heureux du monde” pour la 7ème année consécutive. Voyager en Finlande peut-il contribuer au bonheur? Découverte!
Le Rapport mondial sur le bonheur est une mesure du bonheur publiée chaque année par l’ONU depuis 2012. Il est basé sur l’évaluation que les gens font de leur bonheur, ainsi que sur des données économiques et sociales. Six facteurs sont analysés: le soutien relationnel, le revenu, la santé, la liberté, la générosité et l’absence de corruption. Un échantillon d'environ 2000 personnes par pays est interrogé. Les nations nordiques arrivent en tête des dix premières places puisque le Danemark, l’Islande et la Suède suivent la Finlande. La France est 27ème .
   Jennifer de Paola est docteur en psychologie, spécialisée sur le bonheur à l’Université d’Helsinki. Pour elle, “la proximité avec la nature et le bon equilibre entre travail et vie privée constituent la clé de la satisfaction des Finlandais”. Ce pays était pourtant connu jusque dans les années 1980 pour un taux de suicide et de dépression très important. “C’est pour cette raison que le gouvernement a investi dans des campagnes dédiées à la prévention”, explique la chercheuse.
    “Parmi les mesures, il y a l'accès aux traitements, afin que chacun puisse bénéficier de soins de santé mentale grâce à l'aide sociale. Le Rapport mondial sur le bonheur indique aujourd’hui un bon degré de confiance dans les institutions, une longue espérance de vie (de qualité), la liberté de s'exprimer et de faire des choix de vie, un PIB élevé, un haut niveau d'altruisme et un soutien social apporté par les personnes qui nous entourent.”
    – Jennifer de Paola.
   Cinq éléments clés expliquent notamment le classement de la Finlande: le bien-être, un régime alimentaire cohérent avec les saisons, des liens étroits avec la nature, l’appréciation des arts et une atmosphère locale conviviale. Un voyage en Finlande peut être l’occasion de flirter avec ces éléments qui rendent heureux…
    Le pays est avant tout apprécié pour sa sécurité: la Finlande est l’une des destinations les plus sûres. S’ils sont réputés pour leur politesse qui peut virer à l’introversion, les Finlandais n’en sont pas moins accueillants. Sécurité, politesse et chaleur humaine, une combinaison estimée des voyageurs…
   La culture du sauna est aussi un point fort de la destination, qui compte 3 millions de saunas pour une population pour 5 millions d’habitants. Pour son aspect traditionnel et ses bienfaits sur le corps et le moral, le sauna est inscrit au Patrimoine culturel de l’UNESCO. Tout visiteur appréciera de terminer ses journées de découverte dans la douce chaleur d’un sauna!
   C’est du côté de la nature que la Finlande se distingue plus encore. Le pays a promulgué un “droit d’accès à la nature”, où tout le monde est libre de profiter de la nature de manière responsable. Ainsi la cueillette des baies et des champignons sauvages et la pêche à la ligne sont libres toute l’année. Mais ce sont surtout ses paysages emplis de forêts dans tout le pays, les 40 parcs nationaux et leurs superbes sentiers de randonnées qui ravissent les visiteurs. Et, alors que les journées sans fin sont les stars de l’été, en hiver, les aurores boréales font chavirer les cœurs des voyageurs. En Laponie, on peut voir des aurores boréales 200 nuits par an…
   Avec ces atouts, il y a de bonnes chances qu’un voyage en Finlande apporte bien de la joie!

(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/finlande-voyage-au-pays-du-bonheur. Accès: 09/11/2024.)
Finlande: voyage au pays du bonheur. Une autre option de titre pour le texte serait:
Alternativas
Q3128603 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Ladakh: lutte pour le climat dans l’Himalaya

    Dans l'extrême nord de l'Inde, coincé entre le Pakistan et la province autonome du Tibet, le Ladakh est un endroit à part. C’est l'un des derniers refuges de la culture tibétaine en terre libre. C’est aussi un territoire aride de haute altitude écologiquement fragile et en pleine mutation. Une lumière pure, des paysages lunaires splendides, des déserts et des rivières aux eaux turquoise, d’immenses montagnes pelées et rocailleuses, des oasis verdoyantes en fond de vallée… Et des monastères bouddhistes perchés sur des éperons rocheux entre pics enneigés et lacs d’altitude. Dans ce décor somptueux, habitent un peuple encore très attaché à ses traditions ainsi que de nombreux nomades qui vivent au rythme des saisons avec leurs troupeaux de yacks et de chèvres. Mais pour combien de temps?
    La région subit de plein fouet les effets de la crise climatique mondiale: les chutes de neige se réduisent, les glaciers reculent, les sécheresses, températures extrêmes et inondations se multiplient. L’ingénieur ladakhi Sonam Wangchuk est connu en Inde comme un activiste climatique engagé dans la défense de son territoire himalayen. Passionné par les énergies renouvelables, il a créé un centre de formation unique au Ladakh – SECMOL – ainsi qu’un système vertueux de récupération d’eau pour irriguer les cultures. Ses célèbres glaciers artificiels, baptisés stupas de glace, servent de réserves hydriques durant la saison sèche.
    Aujourd’hui, si on parle beaucoup de Sonam Wangchuk, notamment sur les réseaux sociaux, c’est qu’il multiplie les actions pour alerter sur l’avenir du Ladakh. Depuis 2019, la région est directement placée sous l’autorité de Delhi. Les Ladakhis s’inquiètent et demandent que la terre, l’emploi et l’identité culturelle du Ladakh soient protégés et que la région puisse avoir une plus grande autonomie. Wangchuk propose de réduire les activités humaines, de limiter le développement et l’exploitation industrielle et d’adopter un mode de vie durable, comme le faisaient les habitants du Ladakh jusque dans les années 2000. Mais c’est tout le contraire qui est à l’œuvre actuellement.
    Le boom du tourisme au Ladakh coïncide avec l'essor rapide de la classe moyenne indienne couplé au succès du film Bollywood Three Idiots, avec Amir Khan, mettant en lumière les paysages himalayens et entraînant un afflux de touristes venus se photographier sur les lieux emblématiques de la comédie. Les années Covid ont accéléré les choses avec encore plus d’Indiens en voyage dans leur propre pays.
    On estime que plus de 400 000 personnes ont voyagé au Ladakh en 2022, près de deux fois la population de la région. Cette fréquentation exerce une pression énorme sur des ressources déjà fragilisées et génère une masse de déchets considérable. Plus loin, le gouvernement indien construit de nouvelles routes pour acheminer rapidement les troupes dans cette région très militarisée proche des frontières chinoises et pakistanaises. A près de 5 000 mètres d’altitude, des files de camions crachent leur fumée noire en rejoignant les régions les plus reculées du pays.
   En mars dernier, Sonam Wangchuk commence une grève de la faim, accompagné par des milliers de personnes, des moines, des jeunes, des vieux. Leur but: interpeller le gouvernement central sur l’écologie et les droits politiques. Sans réponse, le voilà reparti début septembre pour une marche pacifique de près de 1000 km depuis Leh, sa ville natale, jusqu’à New Delhi, pour tenter à nouveau de se faire entendre, mais en vain. Depuis début octobre, il a entamé une nouvelle grève de la faim aux portes du pouvoir. Tous les jours, l’activiste très médiatisé publie des vidéos pour continuer à informer et sensibiliser sur la situation actuelle de cette région himalayenne en proie à plusieurs menaces: le dérèglement climatique, le surtourisme et le développement économique non contrôlé.

    Si vous vivez simplement dans les grandes villes, nous, dans les montagnes, on pourra vivre, simplement – Sonam Wangchuk.
(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/ladakh-lutte-pour-le-climat-dans-lhimalaya.Accès: 07/11/2024.)
Dans le texte, on trouve l’information du nombre d’habitants de la région de Ladakh dans l’actualité. Cochez la réponse correcte:
Alternativas
Q3128602 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Ladakh: lutte pour le climat dans l’Himalaya

    Dans l'extrême nord de l'Inde, coincé entre le Pakistan et la province autonome du Tibet, le Ladakh est un endroit à part. C’est l'un des derniers refuges de la culture tibétaine en terre libre. C’est aussi un territoire aride de haute altitude écologiquement fragile et en pleine mutation. Une lumière pure, des paysages lunaires splendides, des déserts et des rivières aux eaux turquoise, d’immenses montagnes pelées et rocailleuses, des oasis verdoyantes en fond de vallée… Et des monastères bouddhistes perchés sur des éperons rocheux entre pics enneigés et lacs d’altitude. Dans ce décor somptueux, habitent un peuple encore très attaché à ses traditions ainsi que de nombreux nomades qui vivent au rythme des saisons avec leurs troupeaux de yacks et de chèvres. Mais pour combien de temps?
    La région subit de plein fouet les effets de la crise climatique mondiale: les chutes de neige se réduisent, les glaciers reculent, les sécheresses, températures extrêmes et inondations se multiplient. L’ingénieur ladakhi Sonam Wangchuk est connu en Inde comme un activiste climatique engagé dans la défense de son territoire himalayen. Passionné par les énergies renouvelables, il a créé un centre de formation unique au Ladakh – SECMOL – ainsi qu’un système vertueux de récupération d’eau pour irriguer les cultures. Ses célèbres glaciers artificiels, baptisés stupas de glace, servent de réserves hydriques durant la saison sèche.
    Aujourd’hui, si on parle beaucoup de Sonam Wangchuk, notamment sur les réseaux sociaux, c’est qu’il multiplie les actions pour alerter sur l’avenir du Ladakh. Depuis 2019, la région est directement placée sous l’autorité de Delhi. Les Ladakhis s’inquiètent et demandent que la terre, l’emploi et l’identité culturelle du Ladakh soient protégés et que la région puisse avoir une plus grande autonomie. Wangchuk propose de réduire les activités humaines, de limiter le développement et l’exploitation industrielle et d’adopter un mode de vie durable, comme le faisaient les habitants du Ladakh jusque dans les années 2000. Mais c’est tout le contraire qui est à l’œuvre actuellement.
    Le boom du tourisme au Ladakh coïncide avec l'essor rapide de la classe moyenne indienne couplé au succès du film Bollywood Three Idiots, avec Amir Khan, mettant en lumière les paysages himalayens et entraînant un afflux de touristes venus se photographier sur les lieux emblématiques de la comédie. Les années Covid ont accéléré les choses avec encore plus d’Indiens en voyage dans leur propre pays.
    On estime que plus de 400 000 personnes ont voyagé au Ladakh en 2022, près de deux fois la population de la région. Cette fréquentation exerce une pression énorme sur des ressources déjà fragilisées et génère une masse de déchets considérable. Plus loin, le gouvernement indien construit de nouvelles routes pour acheminer rapidement les troupes dans cette région très militarisée proche des frontières chinoises et pakistanaises. A près de 5 000 mètres d’altitude, des files de camions crachent leur fumée noire en rejoignant les régions les plus reculées du pays.
   En mars dernier, Sonam Wangchuk commence une grève de la faim, accompagné par des milliers de personnes, des moines, des jeunes, des vieux. Leur but: interpeller le gouvernement central sur l’écologie et les droits politiques. Sans réponse, le voilà reparti début septembre pour une marche pacifique de près de 1000 km depuis Leh, sa ville natale, jusqu’à New Delhi, pour tenter à nouveau de se faire entendre, mais en vain. Depuis début octobre, il a entamé une nouvelle grève de la faim aux portes du pouvoir. Tous les jours, l’activiste très médiatisé publie des vidéos pour continuer à informer et sensibiliser sur la situation actuelle de cette région himalayenne en proie à plusieurs menaces: le dérèglement climatique, le surtourisme et le développement économique non contrôlé.

    Si vous vivez simplement dans les grandes villes, nous, dans les montagnes, on pourra vivre, simplement – Sonam Wangchuk.
(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/ladakh-lutte-pour-le-climat-dans-lhimalaya.Accès: 07/11/2024.)
Tout au long du texte, l’auteur présente des mots liés à la culture/identité de la région de Ladakh. L’alternative qui ne correspond pas à cette stratégie c’est:
Alternativas
Q3128597 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Ladakh: lutte pour le climat dans l’Himalaya

    Dans l'extrême nord de l'Inde, coincé entre le Pakistan et la province autonome du Tibet, le Ladakh est un endroit à part. C’est l'un des derniers refuges de la culture tibétaine en terre libre. C’est aussi un territoire aride de haute altitude écologiquement fragile et en pleine mutation. Une lumière pure, des paysages lunaires splendides, des déserts et des rivières aux eaux turquoise, d’immenses montagnes pelées et rocailleuses, des oasis verdoyantes en fond de vallée… Et des monastères bouddhistes perchés sur des éperons rocheux entre pics enneigés et lacs d’altitude. Dans ce décor somptueux, habitent un peuple encore très attaché à ses traditions ainsi que de nombreux nomades qui vivent au rythme des saisons avec leurs troupeaux de yacks et de chèvres. Mais pour combien de temps?
    La région subit de plein fouet les effets de la crise climatique mondiale: les chutes de neige se réduisent, les glaciers reculent, les sécheresses, températures extrêmes et inondations se multiplient. L’ingénieur ladakhi Sonam Wangchuk est connu en Inde comme un activiste climatique engagé dans la défense de son territoire himalayen. Passionné par les énergies renouvelables, il a créé un centre de formation unique au Ladakh – SECMOL – ainsi qu’un système vertueux de récupération d’eau pour irriguer les cultures. Ses célèbres glaciers artificiels, baptisés stupas de glace, servent de réserves hydriques durant la saison sèche.
    Aujourd’hui, si on parle beaucoup de Sonam Wangchuk, notamment sur les réseaux sociaux, c’est qu’il multiplie les actions pour alerter sur l’avenir du Ladakh. Depuis 2019, la région est directement placée sous l’autorité de Delhi. Les Ladakhis s’inquiètent et demandent que la terre, l’emploi et l’identité culturelle du Ladakh soient protégés et que la région puisse avoir une plus grande autonomie. Wangchuk propose de réduire les activités humaines, de limiter le développement et l’exploitation industrielle et d’adopter un mode de vie durable, comme le faisaient les habitants du Ladakh jusque dans les années 2000. Mais c’est tout le contraire qui est à l’œuvre actuellement.
    Le boom du tourisme au Ladakh coïncide avec l'essor rapide de la classe moyenne indienne couplé au succès du film Bollywood Three Idiots, avec Amir Khan, mettant en lumière les paysages himalayens et entraînant un afflux de touristes venus se photographier sur les lieux emblématiques de la comédie. Les années Covid ont accéléré les choses avec encore plus d’Indiens en voyage dans leur propre pays.
    On estime que plus de 400 000 personnes ont voyagé au Ladakh en 2022, près de deux fois la population de la région. Cette fréquentation exerce une pression énorme sur des ressources déjà fragilisées et génère une masse de déchets considérable. Plus loin, le gouvernement indien construit de nouvelles routes pour acheminer rapidement les troupes dans cette région très militarisée proche des frontières chinoises et pakistanaises. A près de 5 000 mètres d’altitude, des files de camions crachent leur fumée noire en rejoignant les régions les plus reculées du pays.
   En mars dernier, Sonam Wangchuk commence une grève de la faim, accompagné par des milliers de personnes, des moines, des jeunes, des vieux. Leur but: interpeller le gouvernement central sur l’écologie et les droits politiques. Sans réponse, le voilà reparti début septembre pour une marche pacifique de près de 1000 km depuis Leh, sa ville natale, jusqu’à New Delhi, pour tenter à nouveau de se faire entendre, mais en vain. Depuis début octobre, il a entamé une nouvelle grève de la faim aux portes du pouvoir. Tous les jours, l’activiste très médiatisé publie des vidéos pour continuer à informer et sensibiliser sur la situation actuelle de cette région himalayenne en proie à plusieurs menaces: le dérèglement climatique, le surtourisme et le développement économique non contrôlé.

    Si vous vivez simplement dans les grandes villes, nous, dans les montagnes, on pourra vivre, simplement – Sonam Wangchuk.
(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/ladakh-lutte-pour-le-climat-dans-lhimalaya.Accès: 07/11/2024.)
Parmi les options ci-dessous, l’une ne contient pas un caractère du tourisme durable. Cochez-la. 
Alternativas
Q3128595 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Ladakh: lutte pour le climat dans l’Himalaya

    Dans l'extrême nord de l'Inde, coincé entre le Pakistan et la province autonome du Tibet, le Ladakh est un endroit à part. C’est l'un des derniers refuges de la culture tibétaine en terre libre. C’est aussi un territoire aride de haute altitude écologiquement fragile et en pleine mutation. Une lumière pure, des paysages lunaires splendides, des déserts et des rivières aux eaux turquoise, d’immenses montagnes pelées et rocailleuses, des oasis verdoyantes en fond de vallée… Et des monastères bouddhistes perchés sur des éperons rocheux entre pics enneigés et lacs d’altitude. Dans ce décor somptueux, habitent un peuple encore très attaché à ses traditions ainsi que de nombreux nomades qui vivent au rythme des saisons avec leurs troupeaux de yacks et de chèvres. Mais pour combien de temps?
    La région subit de plein fouet les effets de la crise climatique mondiale: les chutes de neige se réduisent, les glaciers reculent, les sécheresses, températures extrêmes et inondations se multiplient. L’ingénieur ladakhi Sonam Wangchuk est connu en Inde comme un activiste climatique engagé dans la défense de son territoire himalayen. Passionné par les énergies renouvelables, il a créé un centre de formation unique au Ladakh – SECMOL – ainsi qu’un système vertueux de récupération d’eau pour irriguer les cultures. Ses célèbres glaciers artificiels, baptisés stupas de glace, servent de réserves hydriques durant la saison sèche.
    Aujourd’hui, si on parle beaucoup de Sonam Wangchuk, notamment sur les réseaux sociaux, c’est qu’il multiplie les actions pour alerter sur l’avenir du Ladakh. Depuis 2019, la région est directement placée sous l’autorité de Delhi. Les Ladakhis s’inquiètent et demandent que la terre, l’emploi et l’identité culturelle du Ladakh soient protégés et que la région puisse avoir une plus grande autonomie. Wangchuk propose de réduire les activités humaines, de limiter le développement et l’exploitation industrielle et d’adopter un mode de vie durable, comme le faisaient les habitants du Ladakh jusque dans les années 2000. Mais c’est tout le contraire qui est à l’œuvre actuellement.
    Le boom du tourisme au Ladakh coïncide avec l'essor rapide de la classe moyenne indienne couplé au succès du film Bollywood Three Idiots, avec Amir Khan, mettant en lumière les paysages himalayens et entraînant un afflux de touristes venus se photographier sur les lieux emblématiques de la comédie. Les années Covid ont accéléré les choses avec encore plus d’Indiens en voyage dans leur propre pays.
    On estime que plus de 400 000 personnes ont voyagé au Ladakh en 2022, près de deux fois la population de la région. Cette fréquentation exerce une pression énorme sur des ressources déjà fragilisées et génère une masse de déchets considérable. Plus loin, le gouvernement indien construit de nouvelles routes pour acheminer rapidement les troupes dans cette région très militarisée proche des frontières chinoises et pakistanaises. A près de 5 000 mètres d’altitude, des files de camions crachent leur fumée noire en rejoignant les régions les plus reculées du pays.
   En mars dernier, Sonam Wangchuk commence une grève de la faim, accompagné par des milliers de personnes, des moines, des jeunes, des vieux. Leur but: interpeller le gouvernement central sur l’écologie et les droits politiques. Sans réponse, le voilà reparti début septembre pour une marche pacifique de près de 1000 km depuis Leh, sa ville natale, jusqu’à New Delhi, pour tenter à nouveau de se faire entendre, mais en vain. Depuis début octobre, il a entamé une nouvelle grève de la faim aux portes du pouvoir. Tous les jours, l’activiste très médiatisé publie des vidéos pour continuer à informer et sensibiliser sur la situation actuelle de cette région himalayenne en proie à plusieurs menaces: le dérèglement climatique, le surtourisme et le développement économique non contrôlé.

    Si vous vivez simplement dans les grandes villes, nous, dans les montagnes, on pourra vivre, simplement – Sonam Wangchuk.
(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/ladakh-lutte-pour-le-climat-dans-lhimalaya.Accès: 07/11/2024.)
Quelle option ci-dessous n’indique pas une raison du surtourisme dans la région? Cochez la réponse correcte.
Alternativas
Q3128594 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Ladakh: lutte pour le climat dans l’Himalaya

    Dans l'extrême nord de l'Inde, coincé entre le Pakistan et la province autonome du Tibet, le Ladakh est un endroit à part. C’est l'un des derniers refuges de la culture tibétaine en terre libre. C’est aussi un territoire aride de haute altitude écologiquement fragile et en pleine mutation. Une lumière pure, des paysages lunaires splendides, des déserts et des rivières aux eaux turquoise, d’immenses montagnes pelées et rocailleuses, des oasis verdoyantes en fond de vallée… Et des monastères bouddhistes perchés sur des éperons rocheux entre pics enneigés et lacs d’altitude. Dans ce décor somptueux, habitent un peuple encore très attaché à ses traditions ainsi que de nombreux nomades qui vivent au rythme des saisons avec leurs troupeaux de yacks et de chèvres. Mais pour combien de temps?
    La région subit de plein fouet les effets de la crise climatique mondiale: les chutes de neige se réduisent, les glaciers reculent, les sécheresses, températures extrêmes et inondations se multiplient. L’ingénieur ladakhi Sonam Wangchuk est connu en Inde comme un activiste climatique engagé dans la défense de son territoire himalayen. Passionné par les énergies renouvelables, il a créé un centre de formation unique au Ladakh – SECMOL – ainsi qu’un système vertueux de récupération d’eau pour irriguer les cultures. Ses célèbres glaciers artificiels, baptisés stupas de glace, servent de réserves hydriques durant la saison sèche.
    Aujourd’hui, si on parle beaucoup de Sonam Wangchuk, notamment sur les réseaux sociaux, c’est qu’il multiplie les actions pour alerter sur l’avenir du Ladakh. Depuis 2019, la région est directement placée sous l’autorité de Delhi. Les Ladakhis s’inquiètent et demandent que la terre, l’emploi et l’identité culturelle du Ladakh soient protégés et que la région puisse avoir une plus grande autonomie. Wangchuk propose de réduire les activités humaines, de limiter le développement et l’exploitation industrielle et d’adopter un mode de vie durable, comme le faisaient les habitants du Ladakh jusque dans les années 2000. Mais c’est tout le contraire qui est à l’œuvre actuellement.
    Le boom du tourisme au Ladakh coïncide avec l'essor rapide de la classe moyenne indienne couplé au succès du film Bollywood Three Idiots, avec Amir Khan, mettant en lumière les paysages himalayens et entraînant un afflux de touristes venus se photographier sur les lieux emblématiques de la comédie. Les années Covid ont accéléré les choses avec encore plus d’Indiens en voyage dans leur propre pays.
    On estime que plus de 400 000 personnes ont voyagé au Ladakh en 2022, près de deux fois la population de la région. Cette fréquentation exerce une pression énorme sur des ressources déjà fragilisées et génère une masse de déchets considérable. Plus loin, le gouvernement indien construit de nouvelles routes pour acheminer rapidement les troupes dans cette région très militarisée proche des frontières chinoises et pakistanaises. A près de 5 000 mètres d’altitude, des files de camions crachent leur fumée noire en rejoignant les régions les plus reculées du pays.
   En mars dernier, Sonam Wangchuk commence une grève de la faim, accompagné par des milliers de personnes, des moines, des jeunes, des vieux. Leur but: interpeller le gouvernement central sur l’écologie et les droits politiques. Sans réponse, le voilà reparti début septembre pour une marche pacifique de près de 1000 km depuis Leh, sa ville natale, jusqu’à New Delhi, pour tenter à nouveau de se faire entendre, mais en vain. Depuis début octobre, il a entamé une nouvelle grève de la faim aux portes du pouvoir. Tous les jours, l’activiste très médiatisé publie des vidéos pour continuer à informer et sensibiliser sur la situation actuelle de cette région himalayenne en proie à plusieurs menaces: le dérèglement climatique, le surtourisme et le développement économique non contrôlé.

    Si vous vivez simplement dans les grandes villes, nous, dans les montagnes, on pourra vivre, simplement – Sonam Wangchuk.
(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/ladakh-lutte-pour-le-climat-dans-lhimalaya.Accès: 07/11/2024.)
Pourquoi cette région de l’Himalaya subit plusieurs risques? Cochez la réponse qui n’est pas correcte.
Alternativas
Q3128591 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Ladakh: lutte pour le climat dans l’Himalaya

    Dans l'extrême nord de l'Inde, coincé entre le Pakistan et la province autonome du Tibet, le Ladakh est un endroit à part. C’est l'un des derniers refuges de la culture tibétaine en terre libre. C’est aussi un territoire aride de haute altitude écologiquement fragile et en pleine mutation. Une lumière pure, des paysages lunaires splendides, des déserts et des rivières aux eaux turquoise, d’immenses montagnes pelées et rocailleuses, des oasis verdoyantes en fond de vallée… Et des monastères bouddhistes perchés sur des éperons rocheux entre pics enneigés et lacs d’altitude. Dans ce décor somptueux, habitent un peuple encore très attaché à ses traditions ainsi que de nombreux nomades qui vivent au rythme des saisons avec leurs troupeaux de yacks et de chèvres. Mais pour combien de temps?
    La région subit de plein fouet les effets de la crise climatique mondiale: les chutes de neige se réduisent, les glaciers reculent, les sécheresses, températures extrêmes et inondations se multiplient. L’ingénieur ladakhi Sonam Wangchuk est connu en Inde comme un activiste climatique engagé dans la défense de son territoire himalayen. Passionné par les énergies renouvelables, il a créé un centre de formation unique au Ladakh – SECMOL – ainsi qu’un système vertueux de récupération d’eau pour irriguer les cultures. Ses célèbres glaciers artificiels, baptisés stupas de glace, servent de réserves hydriques durant la saison sèche.
    Aujourd’hui, si on parle beaucoup de Sonam Wangchuk, notamment sur les réseaux sociaux, c’est qu’il multiplie les actions pour alerter sur l’avenir du Ladakh. Depuis 2019, la région est directement placée sous l’autorité de Delhi. Les Ladakhis s’inquiètent et demandent que la terre, l’emploi et l’identité culturelle du Ladakh soient protégés et que la région puisse avoir une plus grande autonomie. Wangchuk propose de réduire les activités humaines, de limiter le développement et l’exploitation industrielle et d’adopter un mode de vie durable, comme le faisaient les habitants du Ladakh jusque dans les années 2000. Mais c’est tout le contraire qui est à l’œuvre actuellement.
    Le boom du tourisme au Ladakh coïncide avec l'essor rapide de la classe moyenne indienne couplé au succès du film Bollywood Three Idiots, avec Amir Khan, mettant en lumière les paysages himalayens et entraînant un afflux de touristes venus se photographier sur les lieux emblématiques de la comédie. Les années Covid ont accéléré les choses avec encore plus d’Indiens en voyage dans leur propre pays.
    On estime que plus de 400 000 personnes ont voyagé au Ladakh en 2022, près de deux fois la population de la région. Cette fréquentation exerce une pression énorme sur des ressources déjà fragilisées et génère une masse de déchets considérable. Plus loin, le gouvernement indien construit de nouvelles routes pour acheminer rapidement les troupes dans cette région très militarisée proche des frontières chinoises et pakistanaises. A près de 5 000 mètres d’altitude, des files de camions crachent leur fumée noire en rejoignant les régions les plus reculées du pays.
   En mars dernier, Sonam Wangchuk commence une grève de la faim, accompagné par des milliers de personnes, des moines, des jeunes, des vieux. Leur but: interpeller le gouvernement central sur l’écologie et les droits politiques. Sans réponse, le voilà reparti début septembre pour une marche pacifique de près de 1000 km depuis Leh, sa ville natale, jusqu’à New Delhi, pour tenter à nouveau de se faire entendre, mais en vain. Depuis début octobre, il a entamé une nouvelle grève de la faim aux portes du pouvoir. Tous les jours, l’activiste très médiatisé publie des vidéos pour continuer à informer et sensibiliser sur la situation actuelle de cette région himalayenne en proie à plusieurs menaces: le dérèglement climatique, le surtourisme et le développement économique non contrôlé.

    Si vous vivez simplement dans les grandes villes, nous, dans les montagnes, on pourra vivre, simplement – Sonam Wangchuk.
(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/ladakh-lutte-pour-le-climat-dans-lhimalaya.Accès: 07/11/2024.)
[...] ainsi que de nombreux nomades qui vivent au rythme des saisons avec leurs troupeaux de yacks et de chèvres.”. (1º§) L’alternative qui pourrait remplacer l’expression soulignée est:
Alternativas
Q3128590 Francês
Répondez le question d’après le texte ci-dessous.

Ladakh: lutte pour le climat dans l’Himalaya

    Dans l'extrême nord de l'Inde, coincé entre le Pakistan et la province autonome du Tibet, le Ladakh est un endroit à part. C’est l'un des derniers refuges de la culture tibétaine en terre libre. C’est aussi un territoire aride de haute altitude écologiquement fragile et en pleine mutation. Une lumière pure, des paysages lunaires splendides, des déserts et des rivières aux eaux turquoise, d’immenses montagnes pelées et rocailleuses, des oasis verdoyantes en fond de vallée… Et des monastères bouddhistes perchés sur des éperons rocheux entre pics enneigés et lacs d’altitude. Dans ce décor somptueux, habitent un peuple encore très attaché à ses traditions ainsi que de nombreux nomades qui vivent au rythme des saisons avec leurs troupeaux de yacks et de chèvres. Mais pour combien de temps?
    La région subit de plein fouet les effets de la crise climatique mondiale: les chutes de neige se réduisent, les glaciers reculent, les sécheresses, températures extrêmes et inondations se multiplient. L’ingénieur ladakhi Sonam Wangchuk est connu en Inde comme un activiste climatique engagé dans la défense de son territoire himalayen. Passionné par les énergies renouvelables, il a créé un centre de formation unique au Ladakh – SECMOL – ainsi qu’un système vertueux de récupération d’eau pour irriguer les cultures. Ses célèbres glaciers artificiels, baptisés stupas de glace, servent de réserves hydriques durant la saison sèche.
    Aujourd’hui, si on parle beaucoup de Sonam Wangchuk, notamment sur les réseaux sociaux, c’est qu’il multiplie les actions pour alerter sur l’avenir du Ladakh. Depuis 2019, la région est directement placée sous l’autorité de Delhi. Les Ladakhis s’inquiètent et demandent que la terre, l’emploi et l’identité culturelle du Ladakh soient protégés et que la région puisse avoir une plus grande autonomie. Wangchuk propose de réduire les activités humaines, de limiter le développement et l’exploitation industrielle et d’adopter un mode de vie durable, comme le faisaient les habitants du Ladakh jusque dans les années 2000. Mais c’est tout le contraire qui est à l’œuvre actuellement.
    Le boom du tourisme au Ladakh coïncide avec l'essor rapide de la classe moyenne indienne couplé au succès du film Bollywood Three Idiots, avec Amir Khan, mettant en lumière les paysages himalayens et entraînant un afflux de touristes venus se photographier sur les lieux emblématiques de la comédie. Les années Covid ont accéléré les choses avec encore plus d’Indiens en voyage dans leur propre pays.
    On estime que plus de 400 000 personnes ont voyagé au Ladakh en 2022, près de deux fois la population de la région. Cette fréquentation exerce une pression énorme sur des ressources déjà fragilisées et génère une masse de déchets considérable. Plus loin, le gouvernement indien construit de nouvelles routes pour acheminer rapidement les troupes dans cette région très militarisée proche des frontières chinoises et pakistanaises. A près de 5 000 mètres d’altitude, des files de camions crachent leur fumée noire en rejoignant les régions les plus reculées du pays.
   En mars dernier, Sonam Wangchuk commence une grève de la faim, accompagné par des milliers de personnes, des moines, des jeunes, des vieux. Leur but: interpeller le gouvernement central sur l’écologie et les droits politiques. Sans réponse, le voilà reparti début septembre pour une marche pacifique de près de 1000 km depuis Leh, sa ville natale, jusqu’à New Delhi, pour tenter à nouveau de se faire entendre, mais en vain. Depuis début octobre, il a entamé une nouvelle grève de la faim aux portes du pouvoir. Tous les jours, l’activiste très médiatisé publie des vidéos pour continuer à informer et sensibiliser sur la situation actuelle de cette région himalayenne en proie à plusieurs menaces: le dérèglement climatique, le surtourisme et le développement économique non contrôlé.

    Si vous vivez simplement dans les grandes villes, nous, dans les montagnes, on pourra vivre, simplement – Sonam Wangchuk.
(Disponible: https://voyage.tv5monde.com/fr/ladakh-lutte-pour-le-climat-dans-lhimalaya.Accès: 07/11/2024.)
“Ladakh: lutte pour le climat dans I’Himalaya.” Une autre option de titre pour le texte serait:
Alternativas
Q2923125 Francês

Texte IX, pour répondre aux questions de 44 à 50.


Une langue vivante de référence, la langue française


1 Toute communauté possède un bien précieux, sa

langue, premier lien entre tous ses membres et porteuse,

en elle, de tout ce qui en fait l'esprit. Mais dès lors que cette

4 communauté ne vit plus seule, qu'elle s'associe à d'autres

dans un ensemble où chacune a son propre mode

d'expression — Babel en fit l'expérience en son temps —,

7 l'incommunicabilité s'instaure, les incompréhensions

s'installent, les conflits s'insinuent.

L'union durable des peuples ne se fait pas sur des

10 intérêts matériels; ceux-ci sont trop aléatoires et deviennent

souvent contradictoires. L'ensemble se disloque, car il n'a

pas, comme en maçonnerie, un liant qui maintient la cohésion

13 des éléments.

La francophonie illustre le propos. La langue

française en est le liant. Mais pour ses pays membres, la

16 volonté de se rassembler autour d'une langue témoigne de

I'intérêt qu'ils lui portent comme fondement essentiel de leur

rapprochement.

19 En outre, si des pays non francophones viennent s'y

joindre, faut-il prosaïquement n'y voir qu'une simple envie de

se rallier à quelque chose d‘existant? Il est quand même

22 difficile de croire que l'attrait financier soit à l'origine de leur

démarche, les subsides de la francophonie ne devant pas

être particulièrement abondants! Certes, un peu, c'est mieux

25 que rien, mais encore! Peut-être cherchent-ils autre chose,

comme une sorte de référence culturelle et morale que, pour

eux, notre langue symboliserait?

28 Car il est indéniable que, dans un monde qui donne

l'impression d'être tiraillé de toute part, se rapprocher de

quelque chose qui affiche une certaine stabilité et qui serve

31 de point d'ancrage est vraisemblablement une ambition à

laquelle plusieurs pays doivent aspirer. La langue française,

de par son passé et ce qu'elle a acquis au cours du temps, ne

34 pourrait-elle être un de ces pôles de ralliement?

Mais encore faut-il qu'elle soit vivante, qu'elle sache

suivre le monde dans son évolution! La langue française est

37 vivante, où du moins la considère-t-on comme telle. Et si elle

l'est, c'est qu'elle s'adapte à son temps. Mais pour qu'il en soit

ainsi, encore faut-il que ce qui en fait l'essence soit

40 parfaitement préservé. Ce qui l'identifie notamment c'est son

vocabulaire, sa grammaire, sa rhétorique et sa poétique, à

savoir, les mots qui la composent, les règles qui s'appliquent

43 à leur emploi, la manière dont on en fait usage, en particulier

pour exprimer la beauté.

Or toute cette gradation de ce qui fait notre langue

46 est soumise aux exigences du temps qui passe, d'une pensée

et de mœurs qui changent. Et dans cette évolution

permanente, il importe qu'elle ne perde jamais son identité et

49 ce qui en fait sa richesse. La faire vivre et connaître passe

par l'enseignement du français.

Prenons par exemple, en grammaire, les

52conjugaisons dont la langue française regorge en modes et

temps parmi lesquels certains sont tombés en désuétude.

Faut-il les maintenir? Comment faudrait-il les enseigner pour

55 qu'ils soient à nouveau en usage? Le passé simple, par

exemple, est parfaitement connu des enfants qui l'entendent

régulièrement dans les contes et les histoires qu'on leur lit et

58 en comprennent sans difficulté la signification. Et, pourtant, il

s'est exclu de la vie courante, orale et écrite, des adultes.

Serait-ce un temps dont l'usage demande la fraîcheur

61 enfantine? Comment en améliorer l'apprentissage et la

pratique?

Enfin, considérons les pluriels des adjectifs en -al.

64 À moins que des raisons étymologiques en expliquent les

particularités, doit-on les maintenir? Faut-il les abolir? Il est

vrai qu'à l'oreille, des objectifs finaux, par exemple, ne

67 sonnent pas très futé, surtout si on les considère finals!

Et c'est parce que notre langue saura respecter ce

qu'elle a d'essentiel au cours de son évolution qu'elle vaincra

70 le temps et l'espace pour se rendre utile et même

indispensable à ceux qui l'aiment et la choisissent.

Michel Borel. Internet: (adapté). Acesso em 5/7/2010.

Par rapport à l’usage des formes verbales dans le texte et en général dans la langue française, marquez l’option correcte.

Alternativas
Q2923118 Francês

Texte IX, pour répondre aux questions de 44 à 50.


Une langue vivante de référence, la langue française


1 Toute communauté possède un bien précieux, sa

langue, premier lien entre tous ses membres et porteuse,

en elle, de tout ce qui en fait l'esprit. Mais dès lors que cette

4 communauté ne vit plus seule, qu'elle s'associe à d'autres

dans un ensemble où chacune a son propre mode

d'expression — Babel en fit l'expérience en son temps —,

7 l'incommunicabilité s'instaure, les incompréhensions

s'installent, les conflits s'insinuent.

L'union durable des peuples ne se fait pas sur des

10 intérêts matériels; ceux-ci sont trop aléatoires et deviennent

souvent contradictoires. L'ensemble se disloque, car il n'a

pas, comme en maçonnerie, un liant qui maintient la cohésion

13 des éléments.

La francophonie illustre le propos. La langue

française en est le liant. Mais pour ses pays membres, la

16 volonté de se rassembler autour d'une langue témoigne de

I'intérêt qu'ils lui portent comme fondement essentiel de leur

rapprochement.

19 En outre, si des pays non francophones viennent s'y

joindre, faut-il prosaïquement n'y voir qu'une simple envie de

se rallier à quelque chose d‘existant? Il est quand même

22 difficile de croire que l'attrait financier soit à l'origine de leur

démarche, les subsides de la francophonie ne devant pas

être particulièrement abondants! Certes, un peu, c'est mieux

25 que rien, mais encore! Peut-être cherchent-ils autre chose,

comme une sorte de référence culturelle et morale que, pour

eux, notre langue symboliserait?

28 Car il est indéniable que, dans un monde qui donne

l'impression d'être tiraillé de toute part, se rapprocher de

quelque chose qui affiche une certaine stabilité et qui serve

31 de point d'ancrage est vraisemblablement une ambition à

laquelle plusieurs pays doivent aspirer. La langue française,

de par son passé et ce qu'elle a acquis au cours du temps, ne

34 pourrait-elle être un de ces pôles de ralliement?

Mais encore faut-il qu'elle soit vivante, qu'elle sache

suivre le monde dans son évolution! La langue française est

37 vivante, où du moins la considère-t-on comme telle. Et si elle

l'est, c'est qu'elle s'adapte à son temps. Mais pour qu'il en soit

ainsi, encore faut-il que ce qui en fait l'essence soit

40 parfaitement préservé. Ce qui l'identifie notamment c'est son

vocabulaire, sa grammaire, sa rhétorique et sa poétique, à

savoir, les mots qui la composent, les règles qui s'appliquent

43 à leur emploi, la manière dont on en fait usage, en particulier

pour exprimer la beauté.

Or toute cette gradation de ce qui fait notre langue

46 est soumise aux exigences du temps qui passe, d'une pensée

et de mœurs qui changent. Et dans cette évolution

permanente, il importe qu'elle ne perde jamais son identité et

49 ce qui en fait sa richesse. La faire vivre et connaître passe

par l'enseignement du français.

Prenons par exemple, en grammaire, les

52conjugaisons dont la langue française regorge en modes et

temps parmi lesquels certains sont tombés en désuétude.

Faut-il les maintenir? Comment faudrait-il les enseigner pour

55 qu'ils soient à nouveau en usage? Le passé simple, par

exemple, est parfaitement connu des enfants qui l'entendent

régulièrement dans les contes et les histoires qu'on leur lit et

58 en comprennent sans difficulté la signification. Et, pourtant, il

s'est exclu de la vie courante, orale et écrite, des adultes.

Serait-ce un temps dont l'usage demande la fraîcheur

61 enfantine? Comment en améliorer l'apprentissage et la

pratique?

Enfin, considérons les pluriels des adjectifs en -al.

64 À moins que des raisons étymologiques en expliquent les

particularités, doit-on les maintenir? Faut-il les abolir? Il est

vrai qu'à l'oreille, des objectifs finaux, par exemple, ne

67 sonnent pas très futé, surtout si on les considère finals!

Et c'est parce que notre langue saura respecter ce

qu'elle a d'essentiel au cours de son évolution qu'elle vaincra

70 le temps et l'espace pour se rendre utile et même

indispensable à ceux qui l'aiment et la choisissent.

Michel Borel. Internet: (adapté). Acesso em 5/7/2010.

D’après le texte,

Alternativas
Q2923114 Francês

Texte IX, pour répondre aux questions de 44 à 50.


Une langue vivante de référence, la langue française


1 Toute communauté possède un bien précieux, sa

langue, premier lien entre tous ses membres et porteuse,

en elle, de tout ce qui en fait l'esprit. Mais dès lors que cette

4 communauté ne vit plus seule, qu'elle s'associe à d'autres

dans un ensemble où chacune a son propre mode

d'expression — Babel en fit l'expérience en son temps —,

7 l'incommunicabilité s'instaure, les incompréhensions

s'installent, les conflits s'insinuent.

L'union durable des peuples ne se fait pas sur des

10 intérêts matériels; ceux-ci sont trop aléatoires et deviennent

souvent contradictoires. L'ensemble se disloque, car il n'a

pas, comme en maçonnerie, un liant qui maintient la cohésion

13 des éléments.

La francophonie illustre le propos. La langue

française en est le liant. Mais pour ses pays membres, la

16 volonté de se rassembler autour d'une langue témoigne de

I'intérêt qu'ils lui portent comme fondement essentiel de leur

rapprochement.

19 En outre, si des pays non francophones viennent s'y

joindre, faut-il prosaïquement n'y voir qu'une simple envie de

se rallier à quelque chose d‘existant? Il est quand même

22 difficile de croire que l'attrait financier soit à l'origine de leur

démarche, les subsides de la francophonie ne devant pas

être particulièrement abondants! Certes, un peu, c'est mieux

25 que rien, mais encore! Peut-être cherchent-ils autre chose,

comme une sorte de référence culturelle et morale que, pour

eux, notre langue symboliserait?

28 Car il est indéniable que, dans un monde qui donne

l'impression d'être tiraillé de toute part, se rapprocher de

quelque chose qui affiche une certaine stabilité et qui serve

31 de point d'ancrage est vraisemblablement une ambition à

laquelle plusieurs pays doivent aspirer. La langue française,

de par son passé et ce qu'elle a acquis au cours du temps, ne

34 pourrait-elle être un de ces pôles de ralliement?

Mais encore faut-il qu'elle soit vivante, qu'elle sache

suivre le monde dans son évolution! La langue française est

37 vivante, où du moins la considère-t-on comme telle. Et si elle

l'est, c'est qu'elle s'adapte à son temps. Mais pour qu'il en soit

ainsi, encore faut-il que ce qui en fait l'essence soit

40 parfaitement préservé. Ce qui l'identifie notamment c'est son

vocabulaire, sa grammaire, sa rhétorique et sa poétique, à

savoir, les mots qui la composent, les règles qui s'appliquent

43 à leur emploi, la manière dont on en fait usage, en particulier

pour exprimer la beauté.

Or toute cette gradation de ce qui fait notre langue

46 est soumise aux exigences du temps qui passe, d'une pensée

et de mœurs qui changent. Et dans cette évolution

permanente, il importe qu'elle ne perde jamais son identité et

49 ce qui en fait sa richesse. La faire vivre et connaître passe

par l'enseignement du français.

Prenons par exemple, en grammaire, les

52conjugaisons dont la langue française regorge en modes et

temps parmi lesquels certains sont tombés en désuétude.

Faut-il les maintenir? Comment faudrait-il les enseigner pour

55 qu'ils soient à nouveau en usage? Le passé simple, par

exemple, est parfaitement connu des enfants qui l'entendent

régulièrement dans les contes et les histoires qu'on leur lit et

58 en comprennent sans difficulté la signification. Et, pourtant, il

s'est exclu de la vie courante, orale et écrite, des adultes.

Serait-ce un temps dont l'usage demande la fraîcheur

61 enfantine? Comment en améliorer l'apprentissage et la

pratique?

Enfin, considérons les pluriels des adjectifs en -al.

64 À moins que des raisons étymologiques en expliquent les

particularités, doit-on les maintenir? Faut-il les abolir? Il est

vrai qu'à l'oreille, des objectifs finaux, par exemple, ne

67 sonnent pas très futé, surtout si on les considère finals!

Et c'est parce que notre langue saura respecter ce

qu'elle a d'essentiel au cours de son évolution qu'elle vaincra

70 le temps et l'espace pour se rendre utile et même

indispensable à ceux qui l'aiment et la choisissent.

Michel Borel. Internet: (adapté). Acesso em 5/7/2010.

Par rapport aux relations entre les langues et les nations, marquez l’option correcte. Selon le texte,

Alternativas
Q2923111 Francês

Texte VIII, Pour répondre aux questions de 40 à 43.


L’enfoncement du Boucan, 1892


1 Du plus loin que je me souvienne, j’ai entendu

la mer. Mêlé au vent dans les aiguilles des filaos, au vent qui

ne cesse pas, même lorsqu’on s’éloigne des rivages et qu’on

4 avance à travers les champs de canne, c’est ce bruit qui a

bercé mon enfance. Je l’entends maintenant, au plus profond

de moi, je l’emporte partout où je vais, le bruit lent, inlassable,

7 des vagues qui se brisent au loin sur la barrière de corail, et

qui viennent mourir sur le sable de la Rivière Noire.

Pas un jour sans que j’aille à la mer, pas une nuit sans que je

10 m’éveille, le dos mouillé de sueur, assis sur mon lit de camp,

écartant la moustiquaire et cherchant à percevoir la marée,

inquiet, plein d’un désir que je ne comprends pas.

13 Je pense à elle comme à une personne humaine, et

dans l’obscurité, tous mes sens sont en éveil pour mieux

l’entendre arriver, pour mieux la recevoir. Les vagues géantes

16 bondissent par-dessus les récifs, s’écroulent dans le lagon, et

le bruit fait vibrer la terre et l’air comme une chaudière. Je

l’entends, elle bouge, elle respire.

19 Quand la lune est pleine, je me glisse hors du lit

sans faire de bruit, prenant garde à ne pas faire craquer le

plancher vermoulu. Pourtant, je sais que Laure ne dort pas, je

22 sais qu’elle a les yeux ouverts dans le noir et qu’elle retient

son souffle. J’escalade le rebord de la fenêtre et je pousse les

volets de bois, je suis dehors, dans la nuit.

J. M. G. Le Clézio. Le chercheur d’or. Paris: Gallimard, 1985, p. 11-2.

D’après l’extrait ci-dessus, marquez l’option correcte.

Alternativas
Q2923106 Francês

Texte VII, pour répondre aux questions de 36 à 39.


Dynamique de la langue et dynamique associative



1 Sans ceux qui les parlent, sans ceux qui

l’apprennent, ceux qui les enseignent, les langues ne sont

que des abstractions. Certains linguistes avancent même

4 qu’elles n’existent pas en dehors de leurs réalisations

effectives. La dynamique qui les porte est donc avant tout une

question humaine. Les associations des professeurs

7 subissent certes des contraintes macrolinguistiques qui les

dépassent: ce sont des contraintes d’ordre politique,

économique, historique. Mais, en tant qu’auteurs importants

10 du champ, elles ont aussi un grand pouvoir d’influence sur

cette dynamique. Je ne confondrais donc pas ici la

dynamique propre à la langue elle-même, et la dynamique

13 associative, qui, si elles ont à l’évidence des points de

recouvrement, ne se laissent pourtant pas réduire l’une à

l’autre.

16 Pour s’exprimer sans langue de bois, on peut dire

tout autour de la planète, le français, comme quelques autres

langues qui sont historiquement développées au niveau

19 mondial, doit répondre aujourd’hui au double et difficile défi

que représente d’une part la vogue du “tout anglais” et d’autre

part la concurrence accrue d’autres langues qui sont

22 maintenant proposées soit dans les systèmes éducatifs

publics soit sur le marché privé des langues.

En ce qui concerne le français à une époque

25 charnière de sa présence en Amérique latine, malgré

l’imposition massive de l’anglais par les systèmes éducatifs,

dans les années 1990, et désormais l’introduction de la

28 langue voisine, le français y a toujours retrouvé sa place. Les

atouts du français, selon Chardedent et Cunha (2008), sont,

dans ce contexte, “la diversité de son intégration sociale, sa

31 proximité néo-latine et sa capacité à relier l’espace

sud-américain à l’espace européen”.

Pour ce qui concerne plus particulièrement le Brésil,

34 Pietraroia (2007) affirme que la présence du français, dans

beaucoup de régions brésiliennes, est due “à l’action des

associations de professeurs pour que les écoles adoptent une

37 perspective plurilingue dans leurs programmes”.

Les deux études citées mettent donc l’accent sur le

fait qu’une des voies majeures ouvertes au français est sa

40 capacité à créer du lien entre les langues ou entre les

disciplines.

Jean-Pierre Cuq, Synergies Brésil, n.º 7, 2009, pp. 154-5. (adapté).



Sur le plan linguistique et grammatical, toujours en considérant le texte, marquez l’option correcte.

Alternativas
Q2923098 Francês

Texte VII, pour répondre aux questions de 36 à 39.


Dynamique de la langue et dynamique associative



1 Sans ceux qui les parlent, sans ceux qui

l’apprennent, ceux qui les enseignent, les langues ne sont

que des abstractions. Certains linguistes avancent même

4 qu’elles n’existent pas en dehors de leurs réalisations

effectives. La dynamique qui les porte est donc avant tout une

question humaine. Les associations des professeurs

7 subissent certes des contraintes macrolinguistiques qui les

dépassent: ce sont des contraintes d’ordre politique,

économique, historique. Mais, en tant qu’auteurs importants

10 du champ, elles ont aussi un grand pouvoir d’influence sur

cette dynamique. Je ne confondrais donc pas ici la

dynamique propre à la langue elle-même, et la dynamique

13 associative, qui, si elles ont à l’évidence des points de

recouvrement, ne se laissent pourtant pas réduire l’une à

l’autre.

16 Pour s’exprimer sans langue de bois, on peut dire

tout autour de la planète, le français, comme quelques autres

langues qui sont historiquement développées au niveau

19 mondial, doit répondre aujourd’hui au double et difficile défi

que représente d’une part la vogue du “tout anglais” et d’autre

part la concurrence accrue d’autres langues qui sont

22 maintenant proposées soit dans les systèmes éducatifs

publics soit sur le marché privé des langues.

En ce qui concerne le français à une époque

25 charnière de sa présence en Amérique latine, malgré

l’imposition massive de l’anglais par les systèmes éducatifs,

dans les années 1990, et désormais l’introduction de la

28 langue voisine, le français y a toujours retrouvé sa place. Les

atouts du français, selon Chardedent et Cunha (2008), sont,

dans ce contexte, “la diversité de son intégration sociale, sa

31 proximité néo-latine et sa capacité à relier l’espace

sud-américain à l’espace européen”.

Pour ce qui concerne plus particulièrement le Brésil,

34 Pietraroia (2007) affirme que la présence du français, dans

beaucoup de régions brésiliennes, est due “à l’action des

associations de professeurs pour que les écoles adoptent une

37 perspective plurilingue dans leurs programmes”.

Les deux études citées mettent donc l’accent sur le

fait qu’une des voies majeures ouvertes au français est sa

40 capacité à créer du lien entre les langues ou entre les

disciplines.

Jean-Pierre Cuq, Synergies Brésil, n.º 7, 2009, pp. 154-5. (adapté).



D’après le texte présenté ci-dessus, marquez l’option correcte.

Alternativas
Q2923083 Francês

Texte VI, pour répondre aux questions de 31 à 35.


1 Suis pas chic et mignon parce que suis poursuiv

par les gnamas de plusiers personnes. (Gnama est (...)

l’ombre qui devient force immanente mauvaise qui suit

4 l’auteur de celui qui a tué une personne innocente.) Et moi j’ai

tué beaucoup d’innocents au Liberia et en Sierra Leone où j’ai

fait la guerre tribale, où j’ai été enfant-soldat. (...)

7 Avant de débarquer au Liberia, j’étais un jeune sans

peur ni reproche. je dormais partout, chapardais* tout et

partout pour manger. Grand-mère me cherchait des jours et

10 des jours : c’est ce qu’on appelle un enfant de la rue. Avant

d’être un enfant de la rue, j’étais à l’école. Avant ça, j’étais un

bilakoro au village de Togobala. (Bilakoro signifie, d’après

13 I’Inventaire des particularités lexicales, garçon non circoncis.)

Je courais dans les rigoles**, j’allais aux champs, je chassais

les souris et les oiseaux dans la brousse. Un vrai enfant

16 nègre noir africain broussard. Avant tout ça, j’étais un gosse

dans la case avec maman. Le gosse, il courait entre la case

de maman et la case de grand-mère. Avant tout ça, j’ai

19 marché à quatre pattes dans la case de maman. Avant de

marcher à quatre pattes, j’étais dans le ventre de ma mère.

Avant ça, j’étais peut-être dans le vent, peut-être un serpent,

22 arbre, bétail ou homme ou femme avant d’entrer dans le

ventre de sa maman. On appelle ça la vie avant la vie. J’ai

vécu la vie avant la vie.


* dérober, voler (de petites choses).

** caniveau, ruisseau.

Ahmadou Kourouma. Allah n’est pas obligé. Paris: Ed. Seuil, 2000, p. 13.

Considérant le texte ci-dessus, marquez l’option correcte.

Alternativas
Respostas
1: B
2: D
3: A
4: A
5: B
6: C
7: C
8: A
9: B
10: B
11: C
12: D
13: C
14: B
15: A
16: B
17: A
18: C
19: C
20: C