Questões de Francês para Concurso
Foram encontradas 374 questões
Le verbe « contribue » (ligne 30) écrit à l’infinitif devient contribuir.
La construction « que je fisse » (ligne 9) au subjonctif présent devient que je fasse.
Selon le texte, certaines formes de rimes médiévales et le rap français contemporain ont des similitudes.
La dernière lettre e à la fin de « disséminée » (ligne 24) et « simagrée » (ligne 26) indique que ces mots sont féminins.
Dans l’extrait « certains artistes s’appliquent à produire des textes travaillés, nourris de références littéraires » (lignes 2 à 4) , « s’appliquent » peut être remplacé par fait des efforts sans changer le sens de la phrase en gardant l’accord du verbe.
La forme verbale « gagnerions » (ligne 39) a pour infinitif le verbe gagner et indique une possibilité imaginée par le locuteur.
Le mot « établir » (ligne 7) peut ê tre remplacé par défaire sans changer le sens de la phrase.
Dans l’extrait « Selon nous, ces raisons suffisent à montrer que nous gagnerions, aujourd’hui, à nous approprier le contenu de La pédagogie des opprimés pour rafraîchir nos idées sur les injustices sociales et sur ce que nous pouvons faire pour nous en libérer. » (lignes 38 à 42) l’auteur du texte ne s’inclut pas dans le groupe des personnes qui gagnerait à s’approprier des idées proposées par Paulo Freire.
Les mots « juste » (ligne 35) et « établi » (ligne 37) sont des adjectifs qui s’accordent avec « situation » (ligne 34) et « ordre social » (ligne 37) respectivement.
« Compte rendu » a un sens similaire à rapport.
Toujours selon l’extrait, « il n’est plus » (ligne 31) peut être remplacé par il n’est pas sans changer le sens de la phrase.
Dans l’extrait « Dans ce cadre, il n’est plus question de mémoriser un savoir mort, mais d’amener l’élève à s’approprier des outils critiques lui permettant de comprendre sa situation et d’envisager des façons d’agir pour la rendre plus juste. » (lignes 31 à 35) le mot « lui » fait reférence à « l’élève ».
D'après les conceptions présentées par Freire, il est important dans une éducation émancipatrice, le dialogue entre les enseignants et les étudiants et le développement du sens critique des étudiants.
Dans l'extrait « La pédagogie des opprimés, qu’il a écrit en 1968 durant son exil politique au Chili, peut pourtant être considérée comme un classique » (lignes 2 à 4) le mot « pourtant » peut être remplacé par par conséquent sans changer le sens de la phrase.
Selon Paulo Freire, l'éducation émancipatrice s'appelle « pédagogie bancaire ».
Dans « L’oppresseur, aussi bienveillant qu’il soit, peut, au mieux, améliorer quelque peu la vie des opprimés, mais jamais les émanciper. » (lignes 25 à 27) et « Pour Freire, les pratiques susceptibles de concrétiser cette émancipation sont celles qui favorisent le dialogue réfléchi entre l’éducateur et l’éduqué. » (lignes 28 à 31), le mot "les" dans les deux cas correspond à un article défini pluriel.
Le mot « bienveillant » (ligne 25) est un adjectif masculin dont la forme au féminin est bienveillante et caractérise une personne ayant bonne disposition envers les autres.
O ensino de língua francesa não contribui para o desenvolvimento humano de crianças e adolescentes, pois essa disciplina que não está prevista na BNCC.
Catherine Millet, auteure d'« Une enfance de rêve » et directrice de la rédaction d'« Art Press », livre ici son regard sur l'œuvre de Michel Houellebecq alors que paraît « Sérotonine ».
Par Catherine Millet Publié le 03 janvier 2019
Le premier mérite de Michel Houellebecq est d'être un très bon auteur populaire. Lorsqu'on jette un œil à ce que sont devenues depuis quelques années les listes des meilleures ventes de livres publiées par les magazines, cela compense un peu et rassure. Les lecteurs se rendent compte qu'il est le seul à envisager de front les vraies questions qui se posent à notre société et, conséquemment, à eux-mêmes dans leur vie quotidienne. Des questions que beaucoup refusent absolument de voir par culpabilité postcoloniale, moraline devenue religion laïque, et par ce qu'il faut bien appeler « trouille », plutôt que « peur », de mettre au jour des pouvoirs qui, par les voies meurtrières du terrorisme ou par celles, insidieuses, de l'économie, mettent à mal la démocratie. On l'a vérifié lors des polémiques qui accueillirent la sortie de son précédent livre, Soumission (Flammarion, 2015), dont on sait pourtant de quels drames il fut prémonitoire et de quelles lâchetés il continue d'être un excellent outil d'analyse. Est-ce que Houellebecq n'a pas payé alors d'avoir fait le boulot qu'étaient incapables de faire universitaires, journalistes et autres politiciens?
LE MONDE. Par Catherine Millet Publié le 03 janvier 2019.
Dans l'extrait phrase “Les lecteurs se rendent compte qu'il est le seul à envisager de front les vraies questions qui se posent à notre société et, conséquemment, à eux-mêmes dans LEUR vie quotidienne.”, le pronom en gras et souligné a comme référant le mot:
1 Les habitants de Paris sont d’une curiosité qui va jusqu’à l’extravagance. Lorsque j’arrivai, je fus regardé comme si j’avais été envoyé du ciel: vieillards, hommes, femmes, 4 enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde se mettait aux fenêtres; si j’étais aux Tuileries, je voyais aussitôt un cercle se former autour de moi; les femmes même faisaient 7 un arc-en-ciel nuancé de mille couleurs, qui m’entourait: si j’étais aux spectacles, je trouvais d’abord cent lorgnettes dressées contre ma figure: enfin, jamais homme n’a tant été vu 10 que moi. Je souriais quelquefois d’entendre des gens qui n’étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux: « Il faut avouer qu’il a l’air bien persan. » Chose 13 admirable! je trouvais de mes portraits partout; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m’avoir pas assez vu. 16 Tant d’honneurs ne laissent pas d’être à charge: je ne me croyais pas un homme si curieux et si rare; et, quoique j’aie très bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que 19 je dusse troubler le repos d’une grande ville, où je n’étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l’habit persan, et à en endosser un à l’européenne, pour voir s’il resterait encore, dans 22 ma physionomie, quelque chose d’admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J’eus 25 sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m’avait fait perdre, en un instant, l’attention et l’estime publique; car j’entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une 28 heure dans une compagnie, sans qu’on m’eût regardé, et qu’on m’eût mis en occasion d’ouvrir la bouche. Mais, si quelqu’un, par hasard apprenait à la compagnie que j’étais persan, 31 j’entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement: « Ah! ah! Monsieur est persan? C’est une chose bien extraordinaire! Comment peut-on être persan? » De Paris, le 6 de la lune de 34 Chalval 1712.
Rica au même. In: Montesquieu. Lettres persanes.
Jugez si les items suivants sont vrais (C) ou faux (E) en ce qui concerne le texte I.
Dans l’expression « et à en endosser un à l’européenne » (linhas 20 et 21), le mot « en » est un pronom personnel représentant une proposition précédée d’une préposition.